❝ L'honneur des samurai's renaîtra !

❝ IDENTITÉ

NOM & PRENOM : Yamamoto Yoshitsune
AGE : 26 ans.
VILLAGE : Kiri.
RANG : Bras droit de la Mizukage.
NIVEAU DE PUISSANCE : Inconnu mais on l'évalue dans les S.
SPÉCIALITÉS : Kenjutsu - Ninjutsu - Taijutsu.
ÉQUIPEMENT : Un Katana qu'il a surnommé Kuru (Shimi, qui veut dire souffrance). Citation de moi : " L'honneur d'un samuraï n'est pas dans son épée, mais chez la femme qui l'attend au foyer. "

CARACTÈRE DU PERSONNAGE

Qui suis-je ?

Une question que de nombreuses personnes se posent, qui est cette personne qui se regarde dans un miroir avec un air insatisfait de son propre corps comme s'il n'était pas assez bien bâti. Ce regard insatisfait est celui que je porte et que je décrirais très bien dans mon physique. Malheureusement ces yeux que je porte ne m'offre pas qu'une vision ni qu'un atout pour séduire les femmes mais aussi un moyen pour observer mes sentiments, malheureusement ces derniers ont perdu il y a bien longtemps la joie qui les animait tant. La tristesse est très bien retransmise par ces yeux, l'honneur est très bien retranscrite par ces yeux, mais la joie quand à elle ne peut être que tenter en vain d'être exprimer par un regard.

Pour moi, me demander qui je suis est un comble, je ne connais pas qui je suis, la personne qui se regarde dans ce miroir ne sait même pas la couleur des yeux de son père, comment sourire sans n'avoir aucun souvenir joyeux, comment rire sans n'avoir jamais connu sa mère, une mère n'y a-t-il rien de plus beau pour un enfant que d'observer un regard inquiet et protecteur. Ces yeux ne font que pleurer des souvenirs que j'ai autrefois perdu, mes pupilles sont rouges à cause des larmes qui y coulent fréquemment, je ne suis qu'un faible, mais comment se montrer fort face à la malchance qui emporta sûrement de magnifiques comme d'horribles souvenirs.

Ces yeux reflètent ce que j'ai perdu, mes souvenirs sont partis emportant ma joie de vivre, peut-être aurais-je souffris d'avoir eu un passé terrible, mais la souffrance aurait peut-être pu être effacé un jour, un oubli ne peut-être recouvré, ma mémoire est perdue mais je la cherche sans aucun espoir de la retrouver un jour.

Mon caractère est simple, je suis stoïque, je n'ai que peu d'émotion, mais très sensible à n'importe quel souvenir évoqué, je pleure quand quelque chose est triste, je ne cache pas mes larmes, ces dernières montre que je suis humain. Je fais preuve de charité mais peu parfois paraître rude surtout envers certaines personnes que j'essaye de dresser vers le droit chemin. Je suis respectueux de la Mizukage, mes yeux frétillent quand je suis dans la même pièce qu'elle, mais évidemment je suis professionnel, je suis un bon bras-droit, du moins je l'espère.

En tant qu'homme je dois être normalement constitué afin d'attirer les femmes, mais malheureusement une personne ne respirant pas la joie n'est pas de tout repos et l'amour d'une personne de sexe féminine ne m'a pas encore été avoué. Pourtant je ne suis point gay et ne rejetterais pas l'amour d'une femme flamboyante et amoureuse, mais à la vue d'un homme qui ne rit pas, pleure régulièrement, on peut se poser des questions sur le bord qu'à choisit la personne. Mais un jour une personne peut-être me reconnaîtra à ma juste valeur et fera palpiter mon coeur anormalement.

Pour finir, malgré que la tristesse hante mes yeux, que je suis quelqu'un de stoïque et qui peut paraître indéfiniment triste, peut-être qu'un jour une personne sera me faire retrouvé le sourire comme aurait su le faire une mère. La faiblesse d'un homme ne peut-être comblé que par la douceur d'une femme et les flammes féminines ne peuvent être que canaliser par la tendresse d'un homme amoureux.

❝ PHYSIQUE DU PERSONNAGE

"Un corps immaculé de sang traduit la douleur, un corps magnifique mais vide traduit le malheur."

Le corps d'une personne normale serait simple, des cheveux couleur châtaigne, une peau jaune, les yeux en amande un sourire sur le coin des lèvres qui créer des petits rides au dessus des lèvres jusqu'au nez, un front souvent plissé à force de rire et d'être angoisser. Une carrure simple, les jambes normale c'est à dire ni trop fine ni trop musclé, un corps taillé par le travail mais pas trop travaillé. Et des bras souvent entouré par une petit couche de graisse ou parfois pour les plus travailleur d'un peu de muscle. Malheureusement pour une personne n'ayant connu ni repos, ni joie, ni plaisir ou en tout cas ne se souvenant plus de ces petits bonheurs de la vie, le corps est taillé différemment c'est à dire des cuisses fermes, travaillés par un entraînement intensif sans repos du matin jusqu'au soir ne passant que par de cours repas et par des corvées devant être faite. Des bras souvent très musclé mais restant assez fin à cause du manque de nourriture grasse mangée. Un torse ainsi qu'un ventre magnifiquement taillé, très fin très musclé, mais malgré que ce corps paraît être un corps de rêve pour certains n'est pas pitoyable d'un côté, une personne aussi belle ne connut jamais l'amour n'est-ce point triste ou y a-t-il une raison. De plus son visage n'en est pas moins beau et adorable à regarder.

Le visage de Yamamoto est magnifique, ses yeux en amande sont parfaitement bien placé, ses cils sont longs et mignons, ses sourcils sont assez fin mais assez gros pour ne pas être trop féminin. Son nez est plutôt fin que gros, ses joues ne sont ni trop grasse ni trop fine et ses lèvres fines. Il n'a pas les oreilles décoller et ni la peau grasse. Il est parfait physiquement à ce niveau. Ses cheveux sont bruns et très long pour un homme, ils sont attachés par un petit tissu blanc en soie très souvent. Yoshino-san a un corps magnifique un visage magnifique et s'habille de façon spéciale mais plutôt élégante.

Il s'habille généralement d'un Kimono noir et blanc, le kimono avec lequel il avait été retrouvé petit où avait été gravé son nom pour pas qu'il le perde, c'était la seule hypothèse, "Yamamoto Yoshino". Par dessus il déposait souvent une grande écharpe fine blanche en soie. Mais parfois, en tant que soldat de l'armée de Kiri il devait porter un habit qu'on pourrait appeler son "31" c'était une veste mauve sur laquelle était brodée des traits dorés ainsi que le signe de son clan ou de sa famille. En plus de ça était représenté une fleure qu'aimait beaucoup notre héros dont il portait souvent des bouquets, il en avait pleins son bureau, encore une façon de pouvoir penser qu'il était gay. Il portait une ceinture elle aussi mauve qui accrochait son fourreau à son corps. En dessous de cette veste magnifique il portait une chemise à froufrou blanc. [Ca s'appelle ainsi je crois.]

Son physique était celui d'une personne qui prenait soin d'elle, de plus il sentait souvent des odeurs florales et qui sentaient délicieusement bon, du coup la populace le traitait en moins que rien parce qu'ils pensaient qu'il était gay. Ils le regardaient de travers, mais ce n'était pas ça qui le rendait triste, il avait de plus gros chats à fouetter que des préjugés.

Le corps d'une personne le représente extérieurement et donne des préjugés, une personne importante se doit de préserver un physique respectable et une certaine élégance, de plus on dit que les femmes aiment les beaux hommes, bien habillé et qui sentent bon, peut-être ces dernières seront ainsi attiré par notre héros.

HISTOIRE DU PERSONNAGE

Le ciel pleurait des larmes qui coulaient sur la douce peau d'un petit personnage, mais tout semblait étrange dans ses yeux, des larmes coulaient, sa joie s'était évaporé pour laissé s'installer dans son regard des larmes de haine et de tristesse, ses parents étaient morts, sa soeur était morte, sa petite Lucie, le petit garçon de 14 ans était choqué. Mais pour comprendre sa douleur, il nous faut retourner dans son passé.

"Il s'appellera Yamamoto, oui Yamamoto ça lui va bien."
Un enfant était né en même temps qu'un second c'était une petite fille du même âge, cette dernière fut appelée : " Cette petite je l'appellerais, Sakura, oui Sakura. " Le sourire de sa mère était gravé dans sa mémoire, c'était un souvenir magnifique, même un bébé gardait des souvenirs magiques de son enfance, ce sourire était celui qui représentait le mieux son amour pour la personne qu'était sa mère.
Sa soeur quand à elle avait des yeux tels ceux de sa grand-mère, c'était des yeux rosés, on ne savait d'où sortait cette couleur mais ces deux personnes avait dégoté le moyen d'avoir des yeux de couleur rosé. La mère s'appelait quand à elle Yui et le père s'appelait Kyouma. C'était deux parents magnifiques qui avait offert à des enfants la joie. Mais un jour le clan Yoshitsune, grand emblème de samuraï dût partir pour Kiri, village dur mais si intransigeant qu'un homme de l'envergure d'un chef de clan ne pouvait esquiver une réunion.
Ce pays abusait de ses pouvoirs et volait un père à sa famille. Mais pourtant le jeune Yamamoto semblait reconnaître ce sens de l'honneur dès l'âge de ses 3 ans. C'était une chose qu'il adorait, il voulait devenir comme son papa disait-il.
Très rapidement les années passèrent et passèrent, un lien fort entre le frère et la soeur naquit, un lien indestructible, ils étaient faux jumeaux et avaient vraiment des ressemblances énormes au niveau des goûts. Outre pour la cuisine où ça facilitait le boulot d'une mère, avoir les mêmes goûts moraux engendrait des petites disputes, mais le fait de vouloir se faire pardonner était le même chez les deux et l'un ne pouvait se passer de l'autre.

Cinq années furent passées, c'était de magnifiques années où le petit garçon se mit à apprendre les rimes et la prose, le japonnais antique et le japonnais moderne, il adorait cette langue et adorait jouer avec les mots. Sa soeur était exactement comme lui, ces deux derniers avaient pris pour habitude de se parler en rime et ça donner des conversations dans un registre tel que : "Onii-chan pourriez vous m'aider ? - Oui très chers qu'est-ce que vous me voulez ? - J'aimerais que vous rangiez ma chambre, je dois partir. - Il en sera ainsi Sakura-nee-chan, si c'est pour votre plaisir."
C'était magnifique pour deux parents d'observer des enfants aussi talentueux et aussi polit entre eux, mais je ne vous laisse pas imaginer les disputes en rimes. Mais un jour pour l'un d'entre eux l'entraînement dû commencer. L'homme était celui qui voulait absolument participer, mais le père quand à lui préférait sa fille, il entraîna alors ses deux enfants et les fit affronter dans un duel. Le petit frère ce jour-ci fut vaincu par sa soeur, une larme coula de ses yeux et ce dernier s'en alla. Mais il n'avait pas lâché l'idée d'être un samuraï de renommé de sa famille. Il espionnait alors tout les entraînements et grâce à la complicité de sa mère ce dernier faisait croire qu'il prenait des cours d'histoire et de mathématique.

Un jour la jeune soeur devint malade, Yamamoto était affolé, il veilla durant des nuits entière à son chevet. A ce moment-ci on pouvait observer une magnifique scène entre frère et soeur, le petit garçon enlaça sa soeur malade et lui dit : " Tu es l'héritière de la famille, donne moi ta maladie et soit honorable. " Plus tard le jeune frère fut malade lui-aussi, la soeur quand à elle allait mieux. Elle s'entraînait et le jeune petit garçon cloîtrait au lit s'endormit plongeant dans un sommeil.
Un frère jaloux de la destinée de sa soeur mais si fou d'elle qu'il pourrait sacrifier son honneur pour son bonheur, l'amour familiale était très fort, le petit garçon était heureux de voir que sa soeur prenait du plaisir à devenir une réelle samuraï, mais un jour le petit garçon fut attristé, Yamamoto demanda alors à Sakura de l'entraîner, il la supplia même, mais cette dernier accepta de suite sans même qu'il la supplie. Le jeune Yoshitsune était vraiment heureux. C'est alors que commença le long entraînement de Yamamoto et de sa soeur.

Le petit garçon avait 14 ans, il ne restait plus que deux jours avant le désastre. Ce dernier était bien plus faible que sa soeur mais était un très grand épéiste. Malheureusement il perdait tout ses combats face à sa talentueuse soeur. Ce jour-ci il s'énerva et frappa sa soeur pour la première fois hors d'un entraînement, il insulta son père et s'enferma dans sa chambre. C'est le lendemain matin que sa soeur entra dans sa chambre et, déposa ses lèvres sur celle de son frère qui avait été déclaré comme le plus jeune étant donné que la benjamine était l'héritière. Le petit frère enlaça sa soeur et retourna le baiser qu'elle lui avait offert, c'était horrible mais l'amour entre frère et soeur avait dépassé les limites. Cette journée ils la passèrent ensemble, en "amoureux". Mais le soir alors que les deux semblaient vouloir faire quelque chose qu'ils ne devraient pas faire Sakura lui chuchota : " N'oublie jamais mon nom Ya-chan, s'il te plaît. Ce dernier répondit Évidemment, Sakura-nee-chan que je ne t'oublierais jamais. "

C'était le jour J, il pleuvait ce jour-ci lorsque l'armée de Kiri attaqua la villa du clan Yoshitsune. Ce dernier avait peur, tout brûlait autour de lui, une pluie de sang jaillissait autour de son corps terrifié, le vieux Setsuno Yoshitsune, l'oncle lointain de Yamamoto avait massacré sa famille et amené l'armée de Kiri avec lui. Ce dernier ne semblait pas rire mais il cria : " Épargnez-le, c'est un faible il ne sait que faire du japonnais, des mathématiques et de l'histoire, bon à rien ! " Il cracha sur Yamamoto et tua le reste de la famille avec l'armée de Kiri dont faisait parti la Mizukage. Elle vint et le prit avec lui. En marchant attaché à côté de la meneuse de cette attaque le jeune cadet Yoshitsune vit son oncle se faire Hara-Kiri, il ne comprenait pas ce signe d'honneur qui était de se suicider en s'éventrant, mais il n'en était que fiers. Malheureusement il ne réjouissait pas assez pour oublier la tête de sa soeur roulant sur le sol après le passage de l'armée de Kiri.

Sur les chevaux on raconta que le jeune homme s'était débattu et avait voulu venger sa soeur, qu'il avait fait preuve de ferveur et qu'on l'épargna, il fut frapper à la tête et oublia toute trace de sa famille, de son clan, mais comme chaque amnésique il n'oublia que tout ses souvenirs, toute trace de savoir était encore présente, il savait se battre, lire, écrire et faire des rimes. Mais il avait oublié l'amour d'une mère, le nom de sa soeur et la gloire de son père perdu. L'opération fut mené top-secrète et fut étouffé très rapidement, plus aucune trace de cette invasion fut retrouvé. La mémoire de Yoshitune Yamamoto était perdu, mais pas son savoir faire, il restait tout de même un samuraï amnésique et très patriotique. Il n'avait aucun sentiment de joie et était encore jeune, une cible parfaite pour un village tel que Kiri.

La première image qu'eut Yamamoto sur le monde, la toute première fois qu'on lui débanda les yeux après le coup et l'amnésie fut le visage d'une fille plus âgée que lui, apparemment elle était la future Mizukage, sa Maîtresse, il devrait lui obéir. Mlle la Mizukage semblait bizarre, elle s'approchait de lui et, lui cria : " Hé oh, souviens-toi petite merde ! ", mais sans aucune réponse du jeune Yoshitsune qui restait stoïque. Elle criait : " Souviens-toi petite merde ! ". Ce dernier continuait à ne rien faire, rester impassible. Alors cette dernière le poussa sur le sol pour qu'il tombe, elle sauta sur lui et se mit à le frapper au visage, elle lui griffait le cou et le mordait. C'était atroce, elle s'était persuadé que le jeune homme avait décidé de ne pas répondre mais qu'il se souvenait, malheureusement une amnésie était bien plus compliqué. Ce dernier resta simple mais une larme coulait de son oeil droit, peut-être était-ce des souvenirs qui remontaient à la surface, ceci ne fit qu'embraser de plus belle la rage de la Mizukage qui frappait son esclave avec ferveur. Il avait la mâchoire décalé, des griffures au cou et le trapèze déchiqueté par la morsure de la jeune femme. Son habit n'était pas propre, il était habillé avec son kimono encore emplie de sang du massacre de sa famille, sur le dos de sa veste, alors que la furie le déchiquetait pour avoir des réponses elle lut : " Yamamoto Yoshitsune ". Quels parents écrivaient le nom de l'enfant sur le kimono de leur fils, mais en tout cas ça l'avait rassasié, elle avait eu sa réponse et semblait dégoutté du sang dont elle s'était recouvert.
Le lendemain, le jeune esclave fut mit dans la même école d'art ninja que sa maîtresse, il devait satisfaire tout ses besoins, si elle voulait frapper, elle avait son défouloir, si elle voulait faire quelque chose elle lui demandait, si elle voulait qu'il se tue il devait le faire. Mais jamais, depuis son arrivé à Kiri, le jeune ninja n'avait parlé et ceci avait le don d'attirer la curiosité de la jeune Mizukage. Cette dernière l'obligea à parler, ce dernier répondit : " Oui Maîtresse. " Et il eut parler. La conversation n'était pas très intéressante avec une personne comme lui, mais le mystère qu'il dégageait pouvait délivrer une terrible curiosité.

De nombreuses fois il fut abusé, de nombreuses fois il fut frappé, mais jamais il ne broncha, des larmes coulaient parfois de ses yeux comme chaque personne n'ayant plus de famille, mais jamais il ne pleurait pour les coups qu'il recevait. Ses yeux étaient clairs, comme son âme qui était pure. Parfois ça lui arrivait de rêver d'une famille qu'il aurait pu avoir. Le soir ce dernier ne dormait qu'à côté de la fille pour qui il devait donner sa vie. Il était l'esclave elle était la maîtresse, mais un voeux ne pourrait jamais être exaucé, celui de récupérer ce qu'il a perdu, une famille, une mère, une mémoire.
En rentrant dans sa chambre tout les soirs, pour un adolescent amnésique des larmes coulaient de son corps, mais ce dernier s'était mis à travailler le piano, il avait réussi à trouver un piano dans ce palais et tentait d'exprimer des sentiments de joies par ce son mélodieux, mais jamais il n'y arrivait, par contre ses musiques mélancoliques étaient digne d'un grand pianiste. Continuant de chercher sa voie, le jeune garçon écrivit des poèmes ou des livres, mais ces derniers ne faisaient que refléter les sentiments qui l'envahissaient, la tristesse et le regret.
Dans ses livres il contait l'histoire de Saito, un jeune garçon orphelin, tout comme lui, il avait perdu son père et sa mère ainsi qu'une personne qu'il avait oublié. Ce dernier ne connaissait l'amour, il savait lire et écrire, l'histoire racontait les péripéties qui le menait à la tête d'un peuple jusqu'à un coup d'état où son corps périt.
Le livre fut vendu et installé dans la bibliothèque comme livre originaire d'un écrivain anonyme de Kiri, on disait que c'était une oeuvre d'art, quelque chose révolutionnaire, mais pour un enfant triste ce n'était qu'une tristesse de plus dans un monde injuste. Malgré tout il restait froid, stoïque, il tentait de contrôler ses émotions face à la Mizukage et ne montrait en aucun cas qu'il cherchait la joie. C'était triste, c'était un malheur, mais il était ainsi, il ne pouvait que se satisfaire de sa position. Mais ce n'était qu'une page de son histoire prête à se laisser oublier au prochain tournant de sa vie.

C'était le dix-huitième hivers de notre jeune protagoniste qui s'annonçait, les flocons de neiges tombaient comme des larmes pour s'écraser vers un sol froid. Un petit personnage se tenait en dessous de ces flocons de neiges qui tombaient, il avait les yeux ouverts, la main levé, il pleurait, encore, ces larmes qui coulaient sur son corps étaient celles d'une personne terrifié par les villageois, ces derniers l'insultaient, ils le frappaient, et, par ordre des unités de Kiri il n'avait en aucun cas le droit de blesser un villageois. Ils les laissaient lui jeter des pierres sur son corps stoïque. Il savait que s'il faisait demi-tour pour retourner auprès de la Mizukage, elle ne l'attendrait qu'avec plus de rage que ces villageois, et sûrement avec de plus grands coups. Il avançait en prenant toute sorte de chose sur son corps, c'était une scène triste, ses mains étaient gelées et son corps frêle par le sang qui coulait de sa tempe. Sa main restait levé pour protéger l'objet qu'il devait livrer, et ses larmes continuaient de couler.
Ce jour-ci la haine remonta jusqu'à un personnage pleurant, ce dernier lança un de ses jutsus sur un villageois : " Bushi no te ". Une main de chakra vint alors étrangler le villageois qui serrait le chakra de notre protagoniste en tentant de crier : " Laissez.... Laissez-moi. " L'étau se resserrait et le villageois devenait bleu, sa femme criait, son enfant criait, mais le regard sans aucun sentiment du personnage montrait sa capacité à tuer sans remord. Le poux du villageois ralentit et lentement il s'arrêta. Automatiquement la police de Kiri arrivait, le samurai se mettait en position de combat par instinct.
Le combat commença entre la police de Kiri et un samuraï du clan Yoshitsune. Le samuraï sans même un seul réel entraînement depuis son amnésie outre ceux de l'académie qui ne l'avait en aucun cas aider à sa maîtrise au sabre, ce dernier était prêt. Sans savoir pourquoi avant de combattre le jeune enfant empoigna l'épée qu'il avait toujours eu à côté de lui depuis son amnésie, à qui appartenait-elle, il ne le savait pas, mais des signes étaient gravés dessus. Elle s'appelait Kurushimi. Il ne savait pourquoi mais il se sentait nostalgique en voyant cette épée, pourquoi des larmes coulaient à nouveaux de ses yeux, il n'en avait aucun souvenir, mais c'était un sentiment pur très proche de la tristesse ou du regret. Les policiers engagèrent le combat avec lui et le jeune samurai se défendit. Il contrôlait 3 policiers de Kiri grâce à son sabre, les techniques du clans Yoshitsune avaient été connus pour être beaucoup trop dangereuses voir si terrifiante qu'on les avait massacré pour cette raison.
Yamamoto était l'héritier de ces techniques, comme sa soeur dont il ne se souvenait plus il se mettait en position mi-accroupi, sur le côté, les jambes très écartées et le sabre dans son fourreau prêt à être dégainer et rengainer à la moindre attaque. Le clan Yoshitsune avait pour habitude de dégainer son épée pour bloquer et attaquer puis de rengainer automatiquement son sabre, c'était une technique plutôt spéciale mais qui marchait très bien.
Le combat continuait maintenant plus rapidement, le ninja de Kiri lança un jutsu aqueux sur notre héros qui le contra du tranchant de son sabre en le séparant, l'eau qui s'écrasait sur le sol fut utilisé par notre protagoniste, il plongea son pied à l'intérieure de cette flaque et tournoya au sol en donnant un coup de pied remplie d'eau. Il visa l'oeil qui fut piqué par le coup ainsi que par l'eau sale qu'il avait maintenant dans son oeil. Le jeune samurai s'apprêtait à faire sa technique Iaïdo, mais une personne intervint. C'était une fille aux cheveux pourpre, enflammés, à sa vue le samurai s'arrêta et s'agenouilla. Elle cria : " Arrête ce combat et vient là ! " Ce jour-ci le pays eut de nombreux problèmes, mais un an de prison suffit à faire purger ses peines. La Mizukage l'avait sortit de prison, il était de nouveau son esclave.

C'était en sortant de prison, un très beau jour. Akuyla était devenue Mizukage, les deux étaient un peu plus proche après sa sortie de prison, elle l'appelait Yoshi-nii. C'était quelque chose de très mignon, mais ça pouvait être dit avec tant de cruauté. La mante religieuse n'était pas surnommé ainsi pour des broutilles, elle était très violente et très sensuelle. Yamamoto avait décidé de recouvrer la mémoire, mais il ne savait pas du tout où commencer, alors il perdit de vue son idéal et ce jour-ci, le jour où elle devint Mizukage, un très grand bonheur se déroula. A 19 ans, le bras droit qui fut choisit était une personne inattendue, le choix du chef du village de Kiri s'était tourné vers un jeune homme aux yeux écarlates, une personne du nom de Yamamoto Yoshitsune, un jeune homme sortant de prison pour s'être rebeller, un ancien esclave.
Il avait été promu à un rang impressionnant et on se douta qu'un homme haït de tous devenant bras droit du Mizukage pu faire enrager de nombreuses personnes. Se dirigeant vers la scène où l'attendait pour un discours, ce dernier avait peur, il ne savait pas quoi dire, mais heureusement les enseignements qu'on lui avait proposé autrefois, il ne se souvenait juste des résultats de son entraînement mais en aucun cas de "comment l'avait-il appris", mais ce qu'il savait c'est qu'il serait capable de faire un discours.
Un pas se posa sur la première marche, des murmures et des hurlements de rages se firent entendre, le peuple le détestait. Le deuxième pas sur la seconde marche menant à la scène fut hésitant, mais se posa sur le sol, ce dernier repensait à tout ce qu'il avait vécu depuis son amnésie, de tout ce qu'il avait enduré, une vie triste, mais le troisième pas s'enchaîna automatiquement sur la troisième marche, mais après toute cette haine envers lui, tout ces coups qu'on lui avait offert avec haine, toutes ces larmes qu'il avait coulé il avait décider de faire le dernier pas et de se diriger vers un trône qui lui était destiné. Le dernier pas fit taire hurler la foule, ces derniers jetaient des objets sur la scène, les ninjas de Kiri ne réagissaient pas, partageant l'avis du public, mais notre protagoniste ne réagissait pas à cette injure, avançant de pas en pas dans la vie vers peut-être un idéal de joie. Il se posa et commença son discours de sa voix mélodieuse :

" Je sais peuple de Kiri que mon nom vous importe guère, mais croyez-vous que la seule alternative est de me lancer des pierres. Je n'ai aucun souvenir de mon propre passé, vous le savez bien mais ce n'est point ça qui m'apportera le respect. Je suis issu d'un clan dont je suis le dernier, est-ce pour ça que vous me haïssez ? Peut-être parce que je n'ai pas la même forme que votre visage, ne pourrais-je pas aider ce village. Je ne peux pas vous offrir un sourire, mais je peux vous soutenir. Je ne peux pas vous faire rire comme vous le souhaiteriez, mais peut-être pourrais-je, un jour, vous aider.
Je ne suis point là pour vous faire le paon, mais pour espérer un regard différent.
Au revoir. "

Sur ce il s'arrêta, la foule s'était tut en entendant des vers, elle ne s'attendait pas à ceci. Yamamoto était un enfant de bonne famille, il était ainsi. Le peuple l'accepta mais un an plus tard les préjugés recommencèrent et il redevint le bouc-émissaire.

7 ans de cette vie ont déjà passé auprès de la Mizukage mais des tensions naissent et quelque chose vint me laisser penser que de nouvelles péripéties ne vont guère tarder.