❝ WHO YOU ARE

❝ IDENTITÉ

NOM & PRENOM : Nakibi
AGE : 20 ans
VILLAGE : Nukenin
RANG : ANBU
NIVEAU DE PUISSANCE : B
SPÉCIALITÉS : Yoton, kenjutsu, katon
ÉQUIPEMENT :Une épée crée par moi même et que je peux convoquer a souhait. Une armure totale. Une gourde de métal en fusion

CARACTÈRE DU PERSONNAGE

L'art pour tuer... Tuer pour l'art.
Quel spectacle que la guerre... La souffrance aide l'art. La destruction la sublime. Ils ont voulus faire de moi une arme, ils ont voulu me contrôler... Mais ils ont échoué. Et je vais leur faire payer leur échec. Ils ont touché ma mère, celle qui m'a sauvé la vie. Deux fois. Mon art les surpasseras tous. Qu'imaginaient-ils ? Qu'on enfermait la puissance? Seul l'art peut contenir la puissance. Et c'est grâce à l'art de la guerre que je montrerais ma puissance.
Art et connaissance, maîtres mots de ma vie. Comprendre et reproduire, imaginer, créer, détruire, recommencer, car la beauté éternelle n'existe pas. J'aime ce cercle dans lequel je suis enfermé, cette boucle vicieuse qui m'oblige à détruire pour créer. Bouillant comme la lave en fusion, insaisissable, fluide, la rage du magma coule dans mes veines. Ils essayeront, mais on ne retient pas le feu liquide d'un volcan. Ma seule vocation est de retrouver ma mère, je veux la connaitre et comprendre son passé. Contre toute attente, j'ai revu l’amour de la création par mon père et l'amour de la destruction par ma mère. Mais je ne suis qu'une image du passé, un mirage de l'avenir car les hommes ne changent pas.
Malgré tout, je ne haïs pas les hommes. Je sais nouer des liens, m'attacher, aimer, si ces derniers en valent la peine. Car je sais aussi que les hommes peuvent tromper. J'ai appris à jouir des plaisirs de la vie courante et aime à échanger avec d'autres artistes. J'aspire à une réalité différente, ou l'art s'épanouirait sans bride.
La plus part de mon temps libre est occupé à la création, a la sculpture, mais aussi à la forge d'armes et à l'entrainement car j'aime entretenir toutes les formes d'arts. Je bâtirais un monde meilleur. Sur les cendres de l'ancien.

❝ PHYSIQUE DU PERSONNAGE

Physique artistique ou d'artiste ?
Forgé par l'histoire, je me retrouve depuis le début avec des cheveux noir de jais, un visage doux, fin, calme. A dresser ce portrait, on croirait voir mon père, un commerçant au visage d'ange, comment les gens auraient-ils pu lui résister ? Mais je n'ai pas ses yeux clairs, les miens sont comme ceux de ma mère, noirs et profonds, mais chaleureux, exprimant calme et puissance. Mon corps ressemble à une bonne épée, fine bien équilibrée, ni trop grande, ni trop petite, mais idéale pour tuer. Musclé, endurci par le temps, mon corps est athlétique sans être trop imposant. N'étant pas spécialisé dans le taijutsu, la vitesse s'impose naturellement. Mes membres son fins agiles mais musclé par le combat à l'épée, immaculés de quelques marques que ce soit par la protection que m'offre mon art. J'aime les vêtements souples et légers, le noir le blanc et le rouge prédominant dans ma garde-robe.
La plus part du temps, je porte une gourde faite en un métal très pur très léger et très résistant, contenant le même métal a l'état liquide. Ce métal étant en quantité limité, j'y fais très attention. Parfois, je porte mon épée, blanche et orange, en travers du dos. Sachant manier un grand nombre d'armes, ma mère ma tatoué 2 sceaux d'invocation d'arme sur les avant-bras, me permettant d'invoquer rapidement différentes armes.

HISTOIRE DU PERSONNAGE

La pyrotechnie n'est pas un don, c'est un art.

"L'art, c'est pour les illuminés" Mon père, devant un dessin pour son anniversaire, le jour de mes 6 ans.
Bienvenu dans mon monde ! Un artiste fasciné par la guerre. Enfin non, disons plutôt qu'on m'a contraint à aimer la guerre et que j'aime naturellement l'art. Et le sort a voulu que j’excelle dans ces 2 domaines. Bien sûr, tout ça est peut-être un peu subjectif. D'abord, excusons mon père, il ne savait pas encore que mon art permettrait de tuer, auquel cas il y aurait sans doute porté un intérêt plus grand. Car en réalité, le monde entier se fou de mon art, mais tout le monde s’intéresse de très prêt à ma capacité à tuer des gens. Le seul problème qui se pose à eux c'est que mon art est mon seul et unique moyen de tuer des gens. Alors j'ai fait un calcul simple. Si mon but est de tuer des gens, mon art doit le faire au mieux. Et pour perfectionner mon art, je devrais tuer beaucoup de gens... Et cette quête de perfectionnement intéresse un nombre incalculable de personnes, surtout en tant de guerre. Mais pour bien comprendre l'artiste, je vais devoir remonter 20 en arrière.

C'est enfant que l'on devient grand
A la naissance, on m'affubla du titre de Kumojin et on me donna un nom, celui de mon père, suite d'une tradition sans logique visant à renforcer la figure emblématique paternelle. La seule chose que ma mère me donna a la naissance fut mon prénom, Nakibi, en hommage à un peintre qu'elle aimait depuis l'enfance et mis à mort peu de temps avant par Kumo, car ce dernier était originaire de Konoha. Cet acte rebelle de la part d'une dame de la haute bourgeoisie de Kumo n'était pas passé inaperçu et fut considéré comme un acte de traîtrise de la part des hauts dirigeants. On voulut nous mettre à mort tous les 2, mais ma mère, par amour pour moi plus que pour ses racines, s'enfuit avec mon père et moi sans se retourner. Ils atteignirent Konoha, par des sentiers peu surs et des plateaux montagneux, mais ils réussirent à trouver dans ce village un endroit de refuge. La famille de mon père était connue dans plusieurs villages ninjas pour ses talents de commerçants, notamment en armes ninjas. Ainsi, il n'était pas rare que l'un d'eux s'installe provisoirement dans un village, et ceci favorisant le commerce, les autorités fermaient bien souvent les yeux. Quoi qu'il en soit, mon enfance alterna entre la forge de mon père, l'académie ninja et de très longs moments avec ma mère. Celle-ci aimait la sculpture, la peinture, la poterie, et tout autres arts amenant a transformer les choses, a les sublimer. Mon père quant à lui me montrait comment forger toutes sortes d'instruments de mort, si bien qu'a 5 ans je connaissais le nom la forme et l'emploi de la plus part des armes communes. A mon entré à l'école de ninja, mon père fut enchanté de constaté que j'avais une vaste connaissance des armes et des combats. Tout aussi surpris, mes professeurs s’intéressèrent alors de prêt à moi. Mais quand il fallait passer la pratique, je sentais qu'il ne fallait pas essayer, comme si une force m'ordonnait d'éviter le combat. Dans ses moments-là, j'inventais toutes sortes de plan machiavéliques pour m'échapper et aller rejoindre ma mère. Alors je pouvais dessiner et m'adonner à différentes passions de création. Et la force s’apaisait, comme rassurée. Peu de temps après, mon père commença à m’emmener dans la forge même, un endroit chaud, sec, mais au combien magnifique. Des langues orangeâtres glissaient paresseusement vers de grands bacs en fontes, des coups de marteaux battant brouillant la perception que j'avais des choses. Mais ou que je regarde, on transformait, on crée, et quelle joie de découvrir ce spectacle ! Des flots gluants de métal en fusion bouillonnaient dans les cuves, attendant d’être battus pour prendre forme. L'art pouvait servir à détruire. A cette révélation, mon corps fut comme troublé, avant qu'une chaleur monstre m’accablait. Pour la 1ere fois, je ressentis mon chakra, qui brûlait mes veines et mon corps tout entier. Et je sentis cette brûlure avancer lentement gagnant en puissance, jusqu’à devenir insoutenable dans la main. Et c'est alors qu'une masse couleur magma sortie de ma main pour tomber sur le sol dans un bruit de métal cliquetant. Une épée. Je venais de créer une épée. Bien que mal terminée et encore bouillante, çà restait une épée. Le signe de la création destructrice, le signe de l'art pour tuer. Désormais l’atelier était silencieux, tout le monde me regardait, partagé entre peur et fascination pour un jeune garçon qui venait de découvrir ses pouvoirs de Yoton. J'étais fait pour tuer. J'étais fait pour créer et pour tuer. Mais une force avait voulu me protéger en m’empêchant de le découvrir. Mais cette force n'était pas partie, je la sentais, au fond de moins, apeurée, mais toujours là. Loin de m'inquiéter de ce que cela pouvait présager, je pris l'épée à mes pieds, sans même me soucier du fait qu'elle était encore rouge vif. Au contact de mes doigts, le métal s'éclaircit et je sentis mon chakra s'écouler lentement en elle, sans douleur, jusqu’à devenir blanc ivoire, et parcouru au milieu par une bande orange vive, semblables a un traits de métal en fusion. La lame s'adapta parfaitement à ma main et à ma force, de sorte à devenir un véritable prolongement de mon bras.
Loin d'imaginer les problèmes que j'allais rencontrer, je repartis, épée a la main, éprouvé par cette consommation de chakra mais équipé d'une lame de métal en fusion et armé d'un pouvoir permettant de liquéfier les solides et de contrôler les liquides
Le lendemain matin, à l'académie, on me fit passer différents tests. Je réussis a la plus part, ne réussis pas quelques autres, mais je ne comprenais pas ou ils voulaient en venir. Sans m'en dire plus, on me laissa suivre les cours de la journée normalement. La vie suivie son cour les 6 mois suivant, à ceci près que j'améliorais mon contrôle du chakra et que je m’entraînais au maniement des armes 3h par soir avec mon père. Cependant, la peur était toujours présente et je refusais de combattre d'autres élèves. Pour autant, je ne diminuais pas les contacts avec ma mère, qui restait pour moi la personne la plus importante qui soit.
6 mois plus tard, je fus soumis aux mêmes tests, mais je les réussis tous sans trop de difficultés. Fier de moi, je m’apprêtais a crier ma joie quand je vis les yeux sombres de mes professeurs :

'' Il va falloir que tu nous suives Nakibi. ''
'' Pourquoi ? ''
'' Ta puissance est ... nécessaire au village. Nous allons t'emmener dans un endroit spécial pour t’entraîner ''
'' Mes parents viennent eux aussi ? ''
'' Non... Je suis désolé Nakibi. ''

Je sentais venir le danger. D'instinct, ma lame apparue dans ma main droite, comme pour me défendre. Je m’apprêtais à sortir quand je les vis avec ma mère dans les bras, un kunai sous la gorge. Un ninja borgne, arborant fièrement les insignes de Konoha s’avança vers moi

- Maintenant il va falloir que tu nous suives, ou ta maman mourra

L'ange gardien

Je ne compris pas la suite. Mais je ne combattis pas. Le regard de ma mère m’apaisait. Et le cauchemar commença. Je ne revis plus mes parents. Je ne vis plus le monde. Je ne vis plus l'art. Je ne vis plus que la souffrance et la douleur, le chaos. On m'avait expliqué que la guerre pouvait éclatée à tout moment et que mon potentiel méritait une attention toute particulière. Il voulait faire de moi une arme à utiliser en cas de guerre. Tout ce temps-là, je n’eus pas peur. Je ne ressentis aucune angoisse, la peur qui me tétanisait a l'idée de combattre c'était transformé en soutient, comme une présence maternelle immatérielle. On voulut faire de moi une bête sanguinaire, mais de leur méthode je ne tirais que la connaissance, si bien que cette période me fut profitable et fit de moi un ninja expert. On fit en sortes de développer mes talents, faisant de moi un expert en ninjutsu, en kenjutsu et en assassinat. Et l'année de mes 18 ans, la guerre éclata. Moi et quelques autres jeunes ninjas aux pouvoirs spéciaux furent jetés dans la cage au lion pour voir si nous méritions les attentions que nous avions reçues. Cette fois, je n'avais pas le choix, j'allais combattre. Et alors que j’avançais sur la plaine pour aller a la rencontre de mes ennemis, je ressentis de nouveau une présence. Mais cette fois elle était plus matériel et... ressemblait a ma mère

- Tu as un grand potentiel en toi Nakibi dit-elle Mais tu as aussi en toi l'amour de la guerre. Et c'est de cela que je voulais te protéger. Mais personne ne vaut le coup d’être protégé de toi. Utilise cette puissance judicieusement, et retrouve moi Nakibi

Et la présence s’estompa, disparaissant totalement cette fois. La sensation d'un grand vide envahi mon coeur et la volonté de tout détruire s'y engouffra un instant après. Nous n'étions maintenant plus très loin de l'armée adverse. Mais je m'en moquais. Ils avaient voulu me faire plier, mais j'étais reste droit, grâce à un ange gardien, grâce à ma mère. Je ne bougeais plus. Le combat entre l'armée de Konoha et de Kumo faisait rage. Mes compagnons ne c'étaient pas arrêté et ne le feraient que quand leur mission serait accomplie. Mais je ne voulais pas être un pion à la solde d'un empire. Je voulais être un artiste, pour ma mère.

- Et le monde entier contemplera notre art.

De grands ailes ductiles se formèrent dans mon dos, jusqu’à être totalement déployée. Un casque et une armure de la même consistance se formèrent également a même mon corps. Je venais de reproduire un des tableaux préférés de ma mère, un ange en armure sauvant une femme des enfers. Et je pris mon envole. Mal assuré pour commencer, je pris vite le contrôle de ce nouveau pouvoir avant de me jeter tête baisser dans la mêlé. La volonté de tuer éclata alors dans ma tête. Soudain, un flot puissant m'envahi. Submergé, je n'arrivais plus à contrôler le chakra, si bien que des langues de métal en fusion emplissaient l'air de façon anarchique, visant les 2 camps sans distinctions. Je combattis, encore et encore, guidé par un instinct primaire. Je fis apparaître toute sorte d'armes et de créatures vues un jour quelconque dans ma vie, liquéfiant toutes les armes, brûlant et tuant tout le monde. Quand je réussis à reprendre le contrôle de moi-même, je ressentis une douleur au ventre. En me découvrant, je pus voir un sceau ouvert se refermer et la présence de ma mère revenir. Son sceau m’empêchait l’accès à toute ma puissance, et seule elle pouvait l'ouvrir. J'étais entouré de cadavres encore fumant, de flaque de métal fondu, mais j'aimais ça. Je crée pour tuer et le monde allait apprendre à me respecter pour cela. Ma mère m'avait demandé de la recherché et j'étais bien décidé à le faire. Mais pour ça je devais trouver de l'aide.

L'ange du mal.


- Désormais, je suis un ninja puissant et connu et recherché par beaucoup d'autorités. Heureusement, en tant de guerre la coordination ce n’est pas leur fort. J'ai fait brûler des armées pour domestiquer ma puissance et on peut dire qu'un ange s'abattant sur le ciel, c'est plutôt artistique. J'ai aussi entendu parler d'un certain Toshishiro... Il faudrait que j'aille le rencontrer. Dans une guerre, on a besoin d'alliés. Et je suis désormais en guerre avec l’ordre connu.