Sur la route [PV Yuu Tendo]

Sur la route.
Sanzoku était sur le chemin du retour pour le Pays de la Rivière. Il venait en effet de réglé quelques affaires dans le Pays de la Terre où il possédait une zone d'influence. Cela il le devait à Grimmjow, bien que Grimmjow lui en devait bien plus. Il se remémora le putsch, il y a un peu près un an. Un combat, un massacre. Veni, vidi, vici comme on dit.
Du sang en tribu de la puissance de son clan, un juste tribut. Surtout du sang Iwajins. Si la vie des membres du clan n'avait pas de prix les leurs n'étaient pas trop cher et Sanzoku, en temporisateur, avait choisi la solution la plus économique. Quelques corps retournaient à la terre, du sang maculait la pierre et le clan exerçait son influence sur l'Est du pays.
Un an avait passé, l'oyabun était donc allé voir comment le clan s'était implanté dans la région. Les yakuzas du clan Ryu pratiquaient plusieurs activité. Il y a tout d'abord ce que les gens bien pensant, mais souvent corrompus, se plaisaient à qualifié de "racket" mais qui n'était au final qu'un juste impôt en échange de protection. Ils développaient aussi l'industrie du sexe dans la région, rachetant, avec plus ou moins de consentement, les bordels existant et en créant de nouveaux. En parallèle de ceci le clan devenait un pilier de l'économie locale en rachetant des magasins de premières nécessitée ou de secteurs vitaux de la région.
Après avoir vu que ce programme, établi un an plus tôt, se déroulait comme prévu Sanzoku retourna vers Kawa. Il était repartit sur la route. Le voyage se déroula sans encombre jusqu’à ce qu'un gamin ne se pointe au milieu du chemin avec l'intention visible d'en découdre.
Déjà les hommes de Sanzoku portaient la mains à la poignée de leurs sabres, prêt à dégainer. Un geste, à peine perceptible, de la part de leur chef les calma.

-Que veux-tu ? demanda Sanzo au gamin.

Il était seize heures. Comment souvent, mon caractère solitaire me poussait souvent à aller faire de longues balades en dehors du village loin de tout. Le soleil jouait à cache-cache avec les montagnes. Ce paysage magnifique me fit m'arrêter quelques minutes sur un rocher. Ces petites minutes me parurent des heures. Songeant en admirant ce paysage, l'atmosphère changea. Le soleil disparut et à la place la tête de Yonbi apparut. Je le regardais puis il fit de même. Salut Son ! Alors c'est quoi ton problème aujourd'hui ? Il me fixa et son regard en disait long... Il me répondit lentement : Tu m'as déjà dis que tu cherchais mon amitié n'est-ce pas ? Et bien sache que ce n'est pas en me parlant sur ce ton que tu montera dans mon estime ! Démontre moi que tu vaut mon respect ! Le visage du singe ce troubla et les monts réapparurent.
Ah c'était bien la première fois que Yonbi me fixait un défi et à vrai dire, je le pris au mots et la première cible serait la bonne ! A l'horizon je vis quelques hommes se diriger vers moi. La voilà, la voilà ma première cible et en plus de ça, ils étaient plusieurs. Ils marchaient d'un pas détermine vers une destination dont je n'avais aucune connaissance. Je pris mon regard le plus sérieux et leurs bloquais le passage !
Un homme se mis en avant et me regarda de haut-en bas. Il avait un physique assez imposant, sont corps semblait être taillé dans la pierre. Voyant que je l'observais, il m’interpella: Que veux-tu ?
C'était enfin ma chance mais en l'observant j'ai vu que son regard était ... hum pas banal j'attendais d'en savoir plus. Pour lui répondre je lança: Salut bande de clowns ! Je n'ai jamais vu vos têtes par ici j'en déduis donc que vous êtes que de passage ! J'empoigna un Kunai et je le pointa vers eux Que faites-vous ici ?
Avant d'avoir pris la parole je sentais l'hostilité dans leurs regards mais là c'était la cerise sur le gâteau ! Je pense que les "clowns" ne se laisseront pas faire. Voyons comment ils réagiront...

Un combat.
Jusque là rien que du classique, la jeunesse était bagarreuse. Elle voulait toujours goûté au sang, comme si elle était prédatrice. Du sang, du sang et encore du sang, jusqu'au jour où il y trop de sang. Là c'est du vomi que l'on voit, et le jeune veut soudainement la paix et l'amour. Tout cela n'est qu'émotion. le passage du prédateur au faible ne tient qu'à un fil, comme un équilibriste qui fait son numéro. Et l'homme est le seul a pouvoir tomber de ce fil. Les émotions, à la fois force et faiblesse de l'homme. La plupart du temps faiblesse.
Des provocations. Sanzoku considéra le gamin avec un air blasé. Il n'y avait rien de déshonorant à ne pas se battre contre un groupe, surtout si celui-ci est composé d'adultes dont l'expérience s'affiche sur le visage. Enfin, il ne faut pas juger un livre à sa couverture, même si cette expression est généralement employée pour mettre en garde contre ceux qui semblent faible.
C'est d’ailleurs exactement ce que l'oyabun faisait. Le gamin avait l'air déterminé et sûr de lui. On ne pourrait pas le raisonner. Ses provocations et interrogations rhétorique le prouvait. Néanmoins Sanzoku ne provoquerait pas le combat.

-Nous sommes de simple voyageurs en route vers notre foyer.

Avant de poursuivre Sanzo détailla le personnage en face de lui. De taille normale, les cheveux abondants et le regard dur. Ses vêtements lui permettaient de se battre en toute situation sans être gêné d'aucune façon. Un bon point. Son kunai pointé vers le groupe était une garde peu commune, pouvant servir aussi bien à l'attaque qu'à la défense.

-A ton attitude je déduis que tu es un ninja d'Iwa qui protège son pays, non ?

Sanzoku paraissait tranquille, enfin, il affichait son habituel air blasé qui était une de ses caractéristiques faciale, tandis que l'hostilité de ses hommes étaient notable dans leurs regards et attitudes. Néanmoins il était prêt à se battre, prêt à faire sortir et parler le fer.

Quoi ?! Des voyageurs ? Ils semblaient bien expérimentés pour des "simple voyageurs". Je ne saisie pas se qu'ils essayent de faire en me faisant croire à ces bobards... Je tournai les yeux dans les yeux de l’énergumène qui semblait être le chef et puis je lui lançai ces quelques mots : A d'autres ! Je doute vraiment que vous ne soyez que des simples voyageurs ! Bon tant pis je vais faire comme tel et vous éradiquer comme de vulgaire moustique !
Mon regard déterminé laissa place à des pupille sadique qui criaient l'envie de sang ! Je crois que c'est la première fois que un esprit sadique prit le dessus ! Peu importe, le combat allais commencer et je ne pouvais en aucun cas les laisser prendre le dessus.
Quelque chose me chiffonnais. Leur leader semblait être ennuyé par mes provocations
Hey toi ! Le mec blazé ! C'est bien toi qui mène ce petit troupeau ?
Ayant trouvé une faille dans leurs comportement je repris calmement : Voyageurs hum... Tu as l'air bien calme pour un vagabond ! Crois-moi j'en ai croissé et tous avais peur d'une chose : des attaques de shinobi. En particulier d'un shinobi ! Le geôlier du certain démon à quatre queues !
Seul les ninja connaissent ce shinobi qui en vérité était moi. J'attendais qu'il tombe dans mon piège en me rétorquant : "Ce shinobi n'est pas toi ?" Dans la foulé je balançai on kunai sur les soi disant voyageurs.

Provocation.
Encore et toujours. La marque de celui qui ne se maîtrisait pas. Ou alors elles auraient été un niveau au dessus. IL avait apparemment compris que Sanzoku était le chef du groupe et dirigeait ses attaques verbales contre lui. Sans effet, comme toujours. Sanzo combattait depuis quarante ans, il savait se maîtriser. Il maîtrisait surtout ses émotions. Sur ce plan là il étaient mieux défendus qu'un château fort, et plus armé que le béton.
Il passa ensuite à la menace. Ce petit devrait faire attention à la couverture du livre. L'oyabun n'eut pas le temps de répondre, même s'il n'en avait pas l'intention, que le gamin lança son kunai. Tous esquivèrent.

-En effet Iwa possède l'hôte du Yonbi. Mais je ne pense pas qu'il soit assez fous pour s'attaquer à des yakuzas.

Eh oui ! Il faut dire que cela était voyait, de nombreux gars abordaient leur tatouages jusque sur leur visage. Le symboles d'appartenance suprême au groupes des yakuzas.
Toujours est-il qu'il avait engagé le combat. Sanzoku écrasa son cigare au sol alors que l'un de ses subordonné lui retirait son manteau de fourrure de ses épaules.

-Je n'ai pas encore dégainé. Je te laisse une chance de te retirer avec honneur petit. Ou alors tu t'étouffera avec ton sang.

Sanzoku passait lui aussi à la menace. Enfin, c'était plus un avertissement.

Alors voilà qui étaient ces gens en réalité, des Yakuzas. Voilà qui est plutôt inattendu. M'enfin je ne manque pas de ressource enfin je l'espère. Ces gars là ne semblaient pas être des enfants de choeurs et rien qu'en voyant le moloss jeté son cigare mon intuition me dit que je ne suis pas au bout de mes surprise... En réalité ces personnes, qui mettent à feu et à sang les petits villages, qui tuent des milliers de personnes chaque années ! Oui en réalité ces hommes là sont des monstres, des monstres tout comme moi ! Pour essayé de lui faire deviner que j'était Yonbi, j’entamai un petit discours
Je ne veux pas de ta pitié ! Dès que je vous aient vu je savais que le combat allait être rude. Vos regards froids et dur qui transperce l'esprit de vos adversaire. J'ai cru comprendre que les Yakuza annihilaient beaucoup d'innocent au cours d'une année... La réalité et là en face de moi vous êtes de véritable monstres ! Et bien nous sommes semblable car je suis un monstre également ! Vous avez l'air assez fort mais rien y fait !

Alors voilà qui étaient ces gens en réalité, des Yakuzas. Voilà qui est plutôt inattendu. M'enfin je ne manque pas de ressource enfin je l'espère. Ces gars là ne semblaient pas être des enfants de choeurs et rien qu'en voyant le moloss jeté son cigare mon intuition me dit que je ne suis pas au bout de mes surprise... En réalité ces personnes, qui mettent à feu et à sang les petits villages, qui tuent des milliers de personnes chaque années ! Oui en réalité ces hommes là sont des monstres, des monstres tout comme moi ! Pour essayé de lui faire deviner que j'était Yonbi, j’entamai un petit discours
Je ne veux pas de ta pitié ! Dès que je vous aient vu je savais que le combat allait être rude. Vos regards froids et dur qui transperce l'esprit de vos adversaire. J'ai cru comprendre que les Yakuza annihilaient beaucoup d'innocent au cours d'une année... La réalité et là en face de moi vous êtes de véritable monstres ! Et bien nous sommes semblable car je suis un monstre également ! Vous avez l'air assez fort mais rien y fait ! Un sourire fendit mon visage puis j'ajoutai : J'aurais très bien pus fuir mais... ne dit-on pas que l’expérience vient en se battant contre plus fort que sois ?
Je savais au font de moi que je ne peux décimer à moi seul autant de Yakuzas mais mon envie de les combattre était plus forte que tout !
Bon puisque je fanfaronne débutons se combat maintenant ! Je malaxais mon chakra, fis les mudras nécessaire à la vitesse de la lumière me courbai puis ; Yoton Youkai, Dissolution monstrueuse ! Un jet de lave ce dirigeait vers eux comment allaient-ils faire pour esquiver ?

Méprise.
Encore et toujours, comme il y en avait des centaines. Tuer des innocents ? Alors que le premier code du gokudo interdit d'offenser un honnête citoyen ? Des milliers de surcroît ?
Au delà de ses inepties et des contes ce petit était déterminé et n'avait pas peur. En fait c'était un idiot. Un monstre disait-il ? Un monstre d'à peine douze ans devait être soit dangereux, soit un jinchuriki. En prenant en compte ce qu'il avait dit plus tôt il devait être l'hôte du Yonbi.
Très vite il passe à l'attaque, lançant un jet de lave. Sanzoku aurait pu le contrer avec l'aido mais il voulait laisser le petit se bercer de ses illusions encore un temps avant de le ramener à la réalité. Il esquiva d'un grand saut en arrière. La chaleur dégagée au contact du saut formait un épais nuage, surement de buée. Une tactique se mit rapidement en place dans l'esprit de Sanzoku.
De leurs côtés les gardes s'apprêtaient à intervenir mais après un regard, non rendus, à leur chef ils comprirent que celui-ci n'avait pas besoin, ni envie, d'aide. Ils restèrent donc en retrait, reculant un peu plus de façon à ce que même de façon involontaire ils n'interviennent pas dans ce duel.
Sanzoku lança une série de boules d'eau, cinq plus précisément, travers le nuages. Ces boules étaient lancé successivement. Pendant que le petit était sûrement occupé à les contrer Sanzoku faisait un large mouvement tournant afin de l'attaquer sur son flanc. Ainsi il le chargea avec l'intention de lui infliger un Tarenken.

Résumé et techniques:

Que se passait-il ?
Je vus mon jet de lave créer un énorme mur de fumée. L'avait-il esquivé ? Je n'en sais rien. Une balle d'eau transperça mon voile de fumée pour se diriger vers moi. La balle était assez rapide puis au moment de m'atteindre, je m'accroupis afin de l'esquiver, je découvris que ce n'était pas une balle mais cinq. Une en avant et les autres cachées dans son sillage. Je tournais la tête de gauche à droite mais plus de traces de mon adversaire... Au moment de joindre mes mains afin d'effectué une substitution, j'entendis un son, comme si l'air était fendu par une personne. Avant que je ne puisse faire quoi que cela sois, je me retrouvais allongé à terre mitraillé de coups de poings lourds. Avant que je ne sois K.O je fit des mudras puis je cria Dégage !!! Yôton Gomudama, sphère de lave ! Cette technique avait pour but de former un genre de bouclier qui m'entoure intégralement. Espérons que ça fera l'affaire. J'ouvris la bouche puis de la lave caoutchouteuse en sortit, puis d'un air fier je dis au Yakuza :Alors ? Tu ne fais pas attaquer tes chiens de garde ? Ses paroles étaient destinées à une réponse car ne pas l'entendre parler, ça me stressais pour une raison inconnu. Enfin mon bouclier achevé, je lançai Si vous avez un quelconque contact avec ce bouclier il vous brûlera. Et alors que comptes-tu faire à présent ?

Bouclier.
Alors que Sanzoku matraquait le jeunot celui-ci forma un bouclier sphérique. Il était fait de lave. Le gamin était rapide et maîtrisait bien le yôton, quoi de plus normal pour le jinchurikis du Yonbi. Il vraiment rapide, et plein de ressources. La manche de chemise brûlée de l'oyabun l'attestait. Il passa outre les provocations plus que facile à trouvé et qui dénotait d'une certaine immaturité. La fière explication de sa technique en attestait aussi.

-Je pourrais te laisser dépenser ton chakra aussi, répondit-il d'un ton blasé.

Néanmoins ceci n'était pas honorable. Le combat était engagé, il devait se finir dans le sang.

-Mais je pense plutôt te faire sortir d'ici.

Sanzoku composa quelques mudras avant de lancé sa technique. Il expulsa un puissant jet d'eau qui était censé solidifier la lave en roche volcanique. Une fois la lave bien solidifié, et alors que le le nuage de vapeur est encore présent le shogun dégaine son katana. Pour cette technique il prenait son temps, laissant le chakra lentement se concentrer dans la lame. De toute façon le petit était bloqué dans sa propre technique. Déterminé il dirigea son regard vers le lieu ou devait se trouver. D'un revers il relâcha la vague de chakra, la destinant à briser la sphère de lave, qui s'était normalement transformé en roche volcanique.

Techniques:

Peut de temps s'écoula entre le lancement de ma technique et les actions suivantes. Celui qui se faisait appeler le 'Shogun" utilisa un sort afin de solidifier la lave qui m'entourait. Prisonnier dans mon propre piège, c'était idiot à dire mais telle était ma situation. T'ss quelle plaie ! Qu'est ce que je pouvais faire maintenant, le temps était compté et ma situation plus que délicate. En une fraction de seconde, je sentis la sphère de briser. Ca créa des gros morceaux de plaque d'un genree de béton . C'est pas possible, voilà ou m'a amené ce satané démon ! Quand soudain, une voix m'interpella. Elle me disait " Tu es faible, si faible. Sans moi tu n'es rien alors utilise la puissance que tu as à disposition ! " Cette voix m'était familière, c'était Yonbi ! Yonbi reprit: Voilà tu commences à te libérer. Tu ne la sens pas ? La puissance monte en toi non ? Oui, je la sentait monter en moi. Un genre d'enveloppe de chakra rouge se formait autour de moi. La force de Yonbi montait en moi puis il finit: Voilà un peu de ma force, pour l'instant tu n'as pas besoin de la force de la première queue ... Avec la force que Yonbi m'avait donné le Gorille, je concentrai ma force dans mes mains et mes pieds. Avec le chakra, je créé une onde de choc afin de diriger les plaques de béton vers lui

Claquement.
Celui du sabre dans le fourreau. En effet Sanzo avait rengainé le katana. Il admirait cette sphère se fissurer puis s'écroulée, éclairée de l'intérieur par une lumière rouge. On aurait dit les entrailles en fusion de la Terre. Un instant ! Une lumière rouge ? Par tous les kamis, le petit utilisait le chakra de son démon ! Cela confirmais au moins qu'il était vraiment un jinchuriki mais cela signifiait surtout que le combat devait se finir rapidement ou alors le gosse risquait de perdre le contrôle.
Sanzoku vit se chakra se libérer d'un coup ainsi que plusieurs bloc de roche volcanique voler vers lui. En une fraction de seconde il arrêta de bouger, contractant sa masse musculaire. Cette technique était bien pratique, et terriblement efficace. Efficace à tel point qu'il ne sentis pas les deux blocs qui le percutèrent et dont il dévia la trajectoire selon les lois de la mécanique physique. Son corps était intact, mais sa chemise et son gilet était ruinés, complètement morts.
Un autre personnage l'aurait tué pour cette raison. Le shogun allait lui aussi le tuer, mais pas pour le gilet.
Un court instant il observa son adversaire. Une seconde il remarqua une faille. C'était bien plus que suffisant.
Il fonça contre le jeunot, le corps penché en avant dans une posture aérodynamique. En moins d'un clin d'oeil il avait couvert la distance, la main sur la poignée du sabre encore au fourreau. Il dégaina. Le sang gicla.
Il devait avoir ouvert une grosse entaille sur le torse du môme. Sanzoku s'en moquait. Le petit était à terre, le yakuza dû se pencher pour essuyer sa lame sur ses vêtements avant de la remettre au fourreau. Un de ses subordonné vint lui remettre son manteau sur ses épaules.
Avant de partir il jeta un dernier regard à celui qui n'était déjà plus qu'un mort en sursis à moins d'un gros coup de chance. Grimmjow devrait apprendre à tenir ses hommes, surtout sur le territoire où lui avait autorité.

Spoiler:

Alors c'était fini ?
Fini, non je ne pense pas, je ne pouvais plus bouger. Ce Shogun m'avait affligé LA blessure fatale. Cette entaille pouvait me faire basculer dans l'autre monde à tout moment. Le sang gicla de ma bouche. Mon adversaire se pencha sur moi et nettoya son arme sur ma blouse noire comme la nuit. Difficilement je pris la parole en espérant une réponse: "Héhé... pathétique n'est-ce pas ? C'était trop facile d’aplatir un vulgaire genin ? Le sang me fit suffoquer. J'attendais une réponse.

Spoiler:

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