[Flash-Back] Les ombres nocturnes de la nuit [PV Ama & PNJ]

La nuit.
Il se passe des choses intéressante la nuit. Le destin du monde se joue souvent la nuit. Néanmoins ici ce n'est pas le sort du monde qui nous intéresse, seulement celui du pays du riz. Le pays était affaiblis, de nombreux shinobis avait quitté le village du pays, à savoir Oto, le village caché du Son, à cause du règne que l'on pourrait qualifier en toute objectivité de "tyrannique". D'après les renseignement dont disposait Sanzoku même les civils le détestaient. Ce chef de village laissant en effet sa garde personnelle se servir chez les civils. Au fil des jours Sanzoku avait vu ce qu'il considérait comme le code de conduite de tout homme, à savoir le gokudo, bafoué chaque jours par celui censé protéger les civils.
Pour cette raison il fallait agir. Néanmoin le Shogun ne vivait pas dans le monde des bisounours, il était beaucoup plus pragmatique. Installé son second à la tête d'Oto mettrais le village à sa botte. Un pas de plus vers l'établissement de l'empire. Vers la restauration de l'Empire.
La majorité des hommes du clan étaient mobilisés, la mission était de taille.

En fin de journée Sanzoku débarqua dans le palais du Daimyo. Le seigneur du pays du riz était surpris et légèrement effrayé de la voir. Il faut dire que Sanzoku était vêtus pour la guerre, en armure de samouraï, le daisho au côté, et accompagné d'une garde vêtue comme lui. A peine une heure plus tard le nom du chef d'Oto avait changé. Le coup de pression avait été minime, le daimyo détestait celui qui gérait le volet militaire de son pays. Officiellement le nouveau chef d'Oto était Hanada Amaru. On peut toutefois émettre un doute sur la façon dont réagirait l'ancien chef.

La nuit était bien avancée lorsque Sanzoku et sa garde rejoignirent les abords du village où le clan s'était rassemblé au cour de la soirée. Il contempla un instant ses hommes qui se préparaient, ses yakuzas qui affûtaient leurs sabres, ses guerriers qui obéissaient au moindres de ses ordres. Son dernier fils, Shingen, vint le voir.

-Est-ce la guerre, Père ? demanda-t-il.

La guerre ? Oui, cela pourrait être la guerre. Si proche et pourtant si éloignée la situation présente était originale. C'était un putsch, rien de plus rien de moins. Rien qu'un autre.

-Presque Shingen, presque...

Il se tourna vers ses hommes, qui attendaient son signal. En réponse il se tourna vers le village. Désormais on ne pouvait plus faire marche arrière.

Si Oto était affaiblis il n'était pourtant pas sans défense. Des ninjas sensoriels repérèrent le groupe de yakuza. On était plus ou moins prêt à les accueillir au village. Néanmoins Sanzoku avait son arme secrète. A la vue du document officiel, où était apposé le sceau du Daimyo, la plupart des ninjas laissait le groupes passer, et les autres avait trop peur de les affronter seul. La tyrannie du chef l'avait rendus encore plus impopulaire que se que s'était imaginé le Shogun.
Petit à petit ils arrivèrent sur la place centrale, où les attendaient le chef et sa garde. La nouvelle s'était propagée très vite. Et en effet la décision du Daimyo n'était pas acceptée par tous.
La bataille s'engageait entre les fidèles et les yakuzas.

J'étais la sous un ciel noir la nuit me recouvrant de son étreinte glaciale dans un pays étrangement familier, debout au milieu de silhouette menaçante qui se mêle parfaitement au parfum enivrant de la peur qui se dégage peu à peu des hommes qui vont affronter la mort lors d'une danse macabre en véritables guerrier, sentiment commun pour la plupart, inconnu pour une partie d'entre eux. Ce dé pucelage n'est pas à prendre à la légère après tout ce n'est pas tous les jours qu'on assiste à une guerre et à ses méfaits, tout cela me rappel ce sentiment lors de l'exécution de ma première victime, cette excitation au moment de la rencontre cette peur qui s'empare peu à peu de tout votre être fragile et ignorant... c'est pitoyable et pourtant c'est ce sentiment puissant et nouveau qui permet d'évoluer combattre sa peur et réussir a la faire disparaitre c'est une véritable preuve de courage et de discernement, bientôt ce profil les premiers jets de sang, je suis recouvert de ce fluide vitale et c'est à ce moment précis que l'extase nous envahit. La première réussite martiale ah doux souvenir. Qui n'a jamais eu cette sensation d'exaltation après avoir terrassé un ennemi durement vaincu. Mais cette guerre n'en était pas vraiment une, je préférais plutôt employé le terme de succession musclé, car au bout du compte c'était bien moi le véritable chef d'Oto non pas ce piètre incapable qui se dressait aujourd'hui devant moi son visage de pierre emplis d'une haine profonde à mon encontre, me jugeant certainement responsable de sa déchéance cet homme ne voit même pas qu'il est l'artisan de sa propre défaite pitoyable c'est bel et bien le mot. J'avais toujours pensé que les kage n'étaient que des incapable avide de pouvoir se contentent de satisfaire leur propre petite personne par des actes égoïste et subjectif. Cet individu en était une représentation parfaite, tuant les propres hommes qu'il avait juré de défendre pillant son propre pays afin d'acquérir une richesse plus importante, se complaisant dans son déshonneur... c'est cette passion pour le pouvoir qui m'avait donné un profond dégout pour l'humanité, car en vérité tous ne songer qu'à une chose accumulée et engranger une puissance supérieure à son voisin prouvant une nouvelle fois leur stupidité.
C'est pourquoi en cette nuit, la résurrection des Hanada débute je compte bien rétablir l'ordre parmi ce chaos qu'est devenue le chétif village du son, hélas si mon héritage fleurit de nouveau c'est uniquement grâce à la terre fertile des tombes qui se dresseront bientôt au coeur du pays du Riz. Comment en était on arriver là , moi le simple nukenin de Suna... la vie est remplie de mystère, mais la raison de cette situation est cependant connue. Durant ma jeunesse et après mon départ du pays du vent, j'avais parcourue de très nombreux pays, développant mes propres talents au fur et à mesure de mon voyage initiatiques, j'étais resté perplexe lorsque je m'étais aventuré parmi les contrés de ce pays. Cette nation fragile n'était pourvue d'une force shinobi que depuis quelque temps, ce faisant cette fébrilité naissante n'avait engendré que corruption et perversité au sein du village d'Oto, j'étais le témoin impuissant du changement de la politique du chef local , virant de politique modéré à une véritable tyrannie du à sa peur presque maladive de perdre son statut de chef. J'avais fini par quitter ces terres, ne voyant à l'époque qu'une confirmation de ce que je savais déjà, à savoir l'effet dévastateur d'une parcelle de puissance sur un homme, pour autant je n'en avais cure ces affaires ne me concerner pas réellement et bien que j'eu passé de nombreuses années en son sein j'avais des choses bien plus importantes à régler que détrôner un autre despote. Cependant, par la suite et avec l'accomplissement de mes objectifs je pouvais à nouveau me pencher sur la situation du pays du riz.

Cela faisait plusieurs années que j'avais rejoint les Yakuza après ma rencontre avec leur chef Sanzoku, je n'ai jamais tissé de liens particuliers avec leurs membres agissent généralement de mon propre chef dans une éternelle solitude je m'étais aventuré de nouveau dans ce pays, découvrant la vie misérable qui régnait parmi les habitants, mon envie de justice pris le dessus, j'infiltrais le village et après plusieurs mois en son sein je tissais des liens avec ses habitants, on m'informer du manque de popularité du chef actuel et du départ d'une très grande parti des shinobi qui avait formé une véritable coalition contre lui, comprenant très vite l'intérêt que j'avais a y gagner j'alertais Sanzoku de la situation lui révélant une partie du contexte et en cachant certains détails, il n'était pas nécessaire de lui en dire trop pour le moment je le persuadais peu à peu d'agir militairement à l'encontre de la tyrannie régente prétextant une entorse au Gokudo. Après une rapide décision de sa part j'étais tout désigné pour être le nouveau chef de ce village. Comprenant vite cette décision et lisant à travers ses agissements je savais pertinemment les ambitions de Sanzo, *qu'il pense que je sois à sa botte pour le moment ce n'est pas un problème mon heure viendra...* il avait réussi a persuadé le Daymo de m'élire comme nouveau dirigeant et c'était la seule chose qui comptait réellement.

Et me voilà aujourd'hui, me dressant au sein du village d'Oto en véritable Parangon de la justice prêt à déchainer la fureur des éléments contre mes adversaires, en tenue dédié au combat je m'étais particulièrement préparé pour ce jour, la mise à mort d'un Kage n'était pas chose courante, pourtant cet homme serait le 3em sur ma liste ce qui n'était pas si mal. Cependant, cette fois-ci je ne serais pas seul dans ma tâche, ralliant les renégats du village du son et la plupart des nukenin du pays que j'avais rencontré lors de mes missions d'infiltrer, j'étais à la tête d'une coalition de shinobi provenant des quatre coins du pays qui semblaient prêt à mourir pour leur idéaux formant ainsi les prémisse d'une nouvelle faction arborant tous la même volontée et le même but, servir de manière juste le pays du riz sous ma bannière. Les gardes du village m'avais eux aussi rejoins les moins fidèles du moins les autres laquais ayant déjà investie la place du village s'attendant à une attaque imminente de nos troupes *ces pauvres fous pensent-ils réellement avoir une chance ?* une fois sur place j'observe mes confrère déjà sur présent. Je ne suis pas seul dans ma prise de pouvoir hors-mis mes nouveaux fidèles, je reçois aussi l'appuie militaire de Yakuza du clan Ryu et la présence notable du chef de notre clan Tairiku no Sanzoku celui-ci ne perdrait pas l'occasion de se montrait.. Poah ce jour serait miens quoi qu'il arrive je comptais bien montrer à cette assemblée l'étendue de ma puissance et mon ami Sanzo en faisait lui aussi partie j'étais certes un membre du clan Ryu, le second plus exactement, mais je n'étais pas pour autant un pion ou une arme qu'on manipule à sa guise et les actions d'aujourd'hui le prouverait. Je m'approche de mon supérieur le salut et commence à dialoguer avec lui le visage indéchiffrable comme à mon habitude.

- Bien je vois que vous êtes à l'heure mon ami ça ne m'étonnes pas vraiment, allons respectons la hiérarchie je vous laisse porter le premier coup, mais je me réserve mon prédécesseur.

Tout en parlant je fais signe à mon second de se tenir prêt à lancer l'offensive sur le parti adverse les dés sont jetés, les pions se mettent en place sur l'échiquier et je laisse mon partenaire porté le premier coup m'assurant ainsi le dernier.

Administrateur Messages : 49 Date d'inscription : 12/12/2012

Pnj, Chef d'Oto

Spoiler:

« Vous êtes sacrément gonflé Tairuku no Sanzoku. Vous entrez dans MON territoire en accusant ce pauvre petit papier de seul fautif à votre venue ? Vous pensez que les yeux de la tour d'Oto sont aveugles ? Tenez-le-vous pour dire, je ne vous laisserai pas. Vous et vos larbins, conquérir mon territoire. Vous allez payer le prix du sang pour votre affront et aussi votre.. Négligence. J'ai un coup d'avance sur le vôtre. Vos dires tout comme ce papier n'ont pas crédit ici. J'en sais beaucoup plus que vous ne le savez.. un petit oiseau s'est posé sur ma main, pas plus tard qu'aujourd'hui et m'a tout raconté de vous... Vous avez perdu »

Le chef du village d'Oto n'avait nullement l'intention de céder son territoire, conquis il y a de cela, près de 10 ans, dans le sang et les hurlements. Tairiku semblait rassuré par sa démarche, sa visite chez le Daimyo. Mais ce qu'il ne savait pas, c'est que le Daimyo, le véritable, se trouvait à Oto en ce moment. Celui qui avait "accepté une audience " n'était rien d'autre qu'un pion sur l'échiquier. Résultat : La tentative de prise de pouvoir de l'Obayun venait de se convertir en guerre. Il osait attaquer un village caché sans même avoir pris le temps de l'étudier en profondeur. Son assurance venait assurément de le mener à sa perte. Le chef du village souriait, se léchant délicatement les badines. Il avait une soif de sang qu'il lui fallait étancher, ce qui tombait bien, car il se servirait de la troupe de Yakuza. Même si dans certaines rues les échauffourées prenaient de l'ampleur, le gros de la lutte aurait lieu sur la place principale. Place qui avait marqué le couronnement du nouveau chef d'Oto il y a quelques années. Et ses partisans avaient rapidement embrigadé les jeunes du village pour un service militaire ou la durée n'était pas définie. Ceux qui ouvraient la bouche ou contredisaient le chef du village étaient durement sanctionnés. C'était une politique affreuse, certes, mais en un sens, efficace puisqu'elle était parvenue à faire redorer le blason de ce pays. La force militaire, bien que nettement inférieure à celle d'une principale nation, était très efficace sur le terrain au point que le chef se serve de ces nouveaux petits soldats pour renflouer les caisses du village en imposant des escortes aux marchands qui s'égaraient à Oto ou en fournissant de la main-d'œuvre militarisée aux pays voisins. Une période dure de l'histoire du village. Mais au bout de quelques années, les familles les plus influentes succombèrent à la propagande mise en place par le système, et devinrent reconnaissantes au chef, qui au final, n'avait pas totalement fait que le mal. Il pensait au bien du village, mais pensait avant tout à sa propre personne et à sa richesse. Ce n'était pas un village à part entière pour lui, c'était bien plus que cela. C'était son "Empire", sa maison et il contait bien l'étendre lorsque l’occasion s'y présenterait.. Mais le cœur des hommes ait aisément corruptible. Et ce qu'il ne savait pas, c'est que sa chute aurait lieu aujourd'hui. Par le Yakuza dont il négligeait fortement les capacités, mais aussi par les siens.. C'est ainsi que, dans sa démarche d'extermination, les pourparlers cessèrent pour laisser place au fracas tonitruant des lames et des shurikens. À ne pas s'y méprendre, le chef ne l'était pas devenu pour rien, il maîtrisait une affinité hors du commun, ou une capacité plutôt. La maîtrise de l'espace-temps. Redoutable et considérablement efficace, mais en aucun cas, à abuser sous peine d'un retour de flamme monstrueux. Il en était bien conscient. Mais quel dessein lui réserverait l'issue de ce combat ? Il n'en savait rien.
Apostrophant sa garde d'élite qui regroupait une quinzaine de shinobi, il établissait une formation en articulant habilement ses doigts et ses hommes s'éclipsèrent aussitôt pour entourer le groupe qui faisait face au chef du village. Après une salve de jutsus dévastateurs qui semèrent la confusion, ce fut autour du leader de prendre part à cette lutte. "L'Empire de Fer" ou l'issue d'une destinée indécise.

"Ninpo-Distorsion de l'Espace temps"

En un instant, le chef se retrouva derrière l'Obayun du clan Ryu, plaçant un Kunai au cou du Yakuza. Ce serait un jeu de rapidité. Mais il savait de quoi il était capable. Sa rapidité et son maniement du katana étaient ses meilleurs atouts. Un duel, un éclair..

- Faites-moi penser à remercier votre très cher fils pour les renseignements fournis. Vous avez perdu

-L'honneur se trouve dans le fait d'abattre l'ennemi.

Voilà ce qu'il répondit à son second avant que la bataille ne s'engage. Il avait de l'expérience mais restait un jeunot. Un ambitieux qui voulait faire ses preuves. Ils l'étaient tous aux yeux de Sanzoku. Tous des roquet voulant impressionner leur maître afin que celui-ci leur flatte le flanc. C'est ainsi que fonctionnait le monde et qu'il fonctionnerait toujours : les faibles impressionnaient les puissants pour monter plus haut, ou alors ils prenaient leurs places.
Mais revenons en à nos moutons. Notre mouton plutôt. Ce fameux chef d'Oto, le tyran. Ainsi il l'avait vus venir ? Il n'était pas aveugle ? Il avait des petits oiseaux ? L'Oyabun l'écoutait patiemment, son éternel figure blasée plaquée sur le visage. Il se rappelait du mizukage qui avait tenu le même genre de discours. Au final sa flotte entière avait été détruite par les yakuzas du clan Ryu ...
S'il y a bien une chose qui laissait de marbre Sanzo ( je veux dire une chose qui le laissait de marbre plus que les autres ) c'est bien la vantardise assumée. Généralement mal placée, elle ne servait qu'à gaspillé de l'énergie en vain, ce qui amenait parfois à perdre le combat, synonyme de mort quand on tombe en face du Shogun.
Néanmoins le chef d’Oto n’était pas n’importe qui. Une grande partie de sa prétention était fondée sur quelquechose. Les deux s’était déjà affronté. Une simple échauffourée lors de la seconde guerre shinobi. Ils avaient alors pû se jauger et repartir avec une certaine haine d’un côté et oublier cet adversaire de l’autre.
Enfin, le mot « oublier » est bien fort. Disons plutôt que Sanzoku ne s’en est pas plus soucié qu’un autre. Il se souvenait de chacun de ceux qu’il avait combattus. IL pouvait se remémoré chaque visage, revoir leur techniques. D’ailleurs celui-ci avait une technique très intéressante.
Technique qu’il utilisa une fois son discours finit.
Un instant plus tard il se retrouvait derrière l’Oyabun, plaçant un kunai sous sa gorge dans l’intention manifeste de la trancher, pensant le duel déjà finit. Il consacrait déjà sa victoire par une petite phrase provocatrice.
Sanzoku était rapide, mais pas autant que son ennemi. Heureusement ce qu’il n’avait pas en rapidité il le compensait en brutalité. Il para le coup de kunai avec la technique du tekkai, brisant l’arme. Se retournant brusquement il agrippa le chef d’Oto à la gorge. Le soulevant légèrement du sol il commençait à aspirer l’eau de son corps grâce à une autre technique.

-Tu as amélioré ta technique je vois.

Le Shogun ne reçut pas de réponse, l’autre s’étant téléporté à l’autre bout de la place, son point de départ. En retour Sanzo dégaina ses deux sabres, le katana et le wakizashi. Le véritable duel allait peut-être enfin débuter ?

Techniques:

S'il y avait bien une chose qui dérangeait particulièrement le descendant des Lin Kuei, c'était d'être relayé au second plans et c'était pourtant ce qui était en train de se passer. Il était resté la a écouté les inepties de ses deux comparses radotant tous les deux sur la raison du conflit actuel, ils étaient visiblement de vielles connaissances et je ressentais un manque d'attention à mon sujet de leur part. Plus particulièrement de la part de mon adversaire du jour, cet idiot semblait ne s'attacher qu'a une seule personne, l'Oyabun du clan Ryu. Compréhensible son statut de chef de clan laisser planer l'idée qu'il était le chef véritable de ce complot, cependant il n'était aujourd'hui ici qu'en soutient pour mes propres plans, baillant légèrement devant le spectacle qui se présenter à moi, une démonstration de force entre les deux hommes se présentait à moi, une scène qui ne m'avais pas du tout convaincu, si prétendu chef de village compter réellement survivre à ce siège il devrait faire preuve d'une plus grande ingéniosité... ou d'une paire bien accrochée. Réalisant qu'à présent les deux hommes tenaient leurs positions et allez bientôt retourner dans un duel des plus ennuyant, je m'interposais entre eux, le premier coup avait été jouer, c'était à mon tour de rentrer dans la danse.

Le chaos régner sur le champ de bataille, chaque homme semblait se battre pour sa vie, la forces et le respect des traditions chez les hommes de tairiku, la dévotion et l'idéalisme parmi mes propres troupes et l'énergie du désespoir chez les derniers ninja de ce qui s'appelait encore "Oto" ce spectacle ce n'était pas la première fois que j'avais l'occasion de l'admirer, j'étais le vétéran d'une vie entière dévouée à la guerre et ce qui pourrait être vu comme un sacrifice allait être aujourd'hui mon salut. Les combats et les hommes s'éloigner peu à peu de notre emplacement laissant une vaste zone de combat libre se concentrant sur leur propre lutte, parfait c'était le moment pour moi d'agir. Si j'étais la ce n'été surement pas pour rester sur le banc de touche, marchant d'un pas lent et assuré je fixais mon adversaire d'un regard intense, je n'avais pas pour but de l'impressionner je savais très bien que dans son orgueil il était persuadé de son triomphe en ce jour, mais bon, autant se prêter au jeu, après tout ce n'est pas tous les jours qu'on détrône un tyran.

- Bien, c'est donc toi le chef de cette bande d'incapable ? Je comprends pourquoi cela a été si simple de retourner tout ce pays contre toi, tu n'es rien d'autre qu'un imbécile de plus dans ce monde d'idiots. Je ne perdrais donc pas plus de temps avec toi.

Tout en prononçant mes derniers mots j'effectuais une série de mudra et accélérer le mouvement dans sa direction, ma voix était glaciale sans émotions, mes gestes précis signe de ma grande envie de mettre un terme à ce combat. Ma technique était enfin prête.

- Nen'shou

Invoquant dans l'air un très grand nombre de boules de feu je les projetais à toute allure sur l'homme, cette technique n'avait pas pour but de le tué, en réalité je voulais en apprendre plus sur l'efficacité de sa technique, une confrontation rapide qui avait pour but de mettre en place le premier échange de coups. M'attendant à un futur déplacement éclair de sa part, je restais sur la défensive et pour plus dé précaution je dressais ma propre armure.

- Kama no Koutetsu

Les flammes recouvraient intégralement mon corps, mais ce n'était pas le seul avantage de cette technique, l'immense vitesse et la force qu'elle me procurait, allez me permettre de triompher de ce combat. Mais pour l'heure j'attendais de voir la réaction du paria, comment allait il s'en sortir ?

Techniques :

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Administrateur Messages : 49 Date d'inscription : 12/12/2012

C'était un combat de tous les diables, des parchemins explosifs sonnaient à travers tous les coins de la place, tous les coins de la ville. Le chef d'Oto était fermement décidé à anéantir le groupe de Yakuza qui voulait s'octroyer son village. Il avait compté sur l'assistance du fils de Tairiku pour en savoir plus sur les opposants, mais il ne pouvait ne pas se souvenir du visage si marquant de l'Oyabun du clan Ryu. Une fois de plus, ils étaient amenés à se rencontrer, et cette nouvelle balade signerait la bel et bien la fin du Yakuza. Terminer ce qu'il n'avait pas pu faire il y a de cela quelques années; voilà l'objectif du maître du déplacement instantané. Son offensive venant de se solder par un échec, il reprit appuie un peu plus loin et médita sur la situation actuelle. Il n'avait pas à faire à un Tairiku seul, mais un Tairiku avec ses larbins et là, ça compliquer déjà plus les choses. Mais lui aussi n'était pas seul, son armée était bel et bien à ses côtés, même si le peuple se déjoua peu à peu de son autorité avec la présence des Yakuza qui les fomenter de les rejoindre, il n'en restait pas moins confiant. Même impulsif, il s'était assagi avec le temps, c'était un constat indéniable. La ville s'était divisée en plusieurs champs de bataille, ses hommes s'étaient également éparpillés pour tenter de rependre le contrôle de la situation dans les secteurs clés. Seuls deux Yakuzas causèrent un affront au leader en s'opposant ouvertement à lui et à sa puissance qui demeurait encore secrète à l'heure actuelle. Mais il avait un mauvais pressentiment, il en se rappelait pas de la dernière fois ou il avait failli perdre son trône. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il n'avait jamais rencontré d'être aussi puissant. Conclusion: Il n'hésiterait pas une seule seconde à utilisé son second Kekkai Genkai-Ninpo. Un pouvoir de tout temps qui remonterait aux origines de ce monde, peu de monde en on une preuve formelle de son existence et c'est pour cette raison que le chef fut à de nombreuses reprises, traqué. Son ADN renfermant des savoirs de l'existence. Il avait conscience lui même de ses pouvoirs et était décidé à les utiliser finalement. Il tuerait nombre de sa population avec, mais s'il fallait passer par là pour sauver son peuple, il n'avait pas une seconde pour hésiter. Détachant lentement ses avant-bras, puis ôtant intégralement son masque, un sourire noir au diapason de ses origines démoniaques se dessina sur son visage. D'une simple expression, il voulait faire comme si, Tairiku, comprenne ce qu'il voulait dire. Esquivant sans difficulté la salve de flamme du larbin de l'Oyabun, ses yeux bleus scintillèrent d'une façon plus intense jusqu'à finir par changer de couleur pour devenir cristal. Son corps se suréleva, emporté par les cieux dans un souffle glacial. Il était au moins à une trentaine de mètres au dessus de ses opposants, un rictus mauvais au coin des lèvres. Un épais nuage commençant à se former pour recouvrir l'intégralité du village. Sa voix rauque perça l'agonie du silence, lorgnant les deux individus comme de simples animaux prêts à l'abattoir.

« Je suis désolé Tai, mais cette fois-ci je veux être bien sûr que tu vas crever. T'es un des seuls qui peut se vanter d'avoir survécu à cette technique, mais pas cette fois.. Une spécialité qui frise un Kekkai Tôta sorti de l'univers. " Le déluge infini des Dragons Aqueux" à l'origine de nombreuses catastrophes comme tu le sais..

Cette technique signait l'autodestruction du village et de ses habitants. C'était inévitable. Le temps était devenu cataclysmique. Une ambiance apocalyptique.. les gigantesques dragons pleuvaient vers leurs ennemies, tel de simples gouttes d'eau. Les impacts fissuraient le sol, broyaient les maisons, pillaient et tuaient sans difficulté. Tout le village était sous le joug de cette averse démoniaque produite par le leader du village d'Oto. Il dévoilait le gros de sa main alors que la parti venait à peine de commencer. Mais c'était terminé

« Sombrons ensemble dans les ABYYSSEES !!! »

Celle la aussi il l'avait améliorée.
Sanzoku avait compris ce que l'autre allait faire dès qu'il commença a retiré son masque. Cette technique il y avait déjà eu affaire et il ne s'en était tiré que de très peu. Oui, un aveux d'une faiblesse. Il regarda son ennemi s'élever. Au moins le combat serait intéressant.
Enfin, il l'aurait été sans ce discours dramatiquomachiavélique. Un mauvais pastiche des méchants de mangas pour adolescent. Si ceci n'est pas un argument pour ne pas prendre cet homme au sérieux qu'est-ce que c'était ? Et pourtant cela aurait été une grossière erreur car le chef d'Oto était et restait un puissant shinobi comme n'arrête pas de le répéter le narrateur depuis le début de ce post.

Comment le tuer ? L'atteindre ne serait pas un réel problème mais encore fallait-il se protéger de sa technique. Et c'est bien là que se situait le noeud du problème. La stratégie et enchaînement défilaient à toutes vitesse dans l'esprit du Shogun, mais aucune n'étaient viable, aucune n'était parfaite.
Comme nous le remarquons il n'est pas fait une seule fois mention d'Amaru dans ce paragraphe. En effet Sanzo est quelqu'un de très solitaire et ne se préoccupais absolument pas de ses alliés.

Toujours est-il qu'il fallait tuer l'ennemi, et il pensait avoir trouver le moyen. Il fallait jouer sur la vitesse.
Ainsi l'oyabun s’élançât dans les airs, montant toujours plus haut tout en esquivant les dragons aqueux qui pleuvait sur le village. Cela prenait du temps et rallongeait la distance qui aurait pu, sans cela, être ridiculement courte.

En dessous de lui et de son adversaire la bataille faisait rage. Pour le moment aucun vainqueurs ne se dessinait. En effet l'effet de surprise des yakuzas avait été annulée par la trahison de Musashi. Une de plus au final. Et leur surnombre totalement annihilé par le terrible jutsu du chef. Jutsu qui déchaînait sa colère aussi bien sur ses ennemis que sur ses alliés.

Mais revenons en à notre combat. Sanzoku était à peu près à la même hauteur que son adversaire, mais à dix mètres sur sa droite. Une fois de plus il utilisa le geppo, mais cette fois ci afin de foncer directement sur son adversaire. Une vague de chakra détruisit un dragon aqueux qui se dressait devant son chemin.
C'est alors que dans une gerbe d'eau il fondit sur son adversaire, sabre au poing, près à lui faire goûter au sang du chef.

Jutsus: