❝ WHO YOU ARE

❝ IDENTITÉ

NOM & PRENOM : Grimmjow Iro.
AGE : La trentaine.
VILLAGE : Iwa or Suna.
RANG : Tsuchikage.
NIVEAU DE PUISSANCE : Niveau S.
SPÉCIALITÉS : Kenjutsus, Ninjutsus [ Fuuton & Raiton ~ Kinton ], Kuchyose & Fuinjutsus.
ÉQUIPEMENT : Parchemin, pinceau, encre, protection, katana etc...

❝ CARACTÈRE DU PERSONNAGE

« YOU MOTHER FUCKER !!! »

Jamais gêné par sa conscience, le ninja montre une assurance et une froideur déstabilisante, arme d'ailleurs essentielle pour tous ninja de ce nom. Un jeune homme sans aucune pitié, enfin, c'est ce que tu essayes de faire croire aux personnes t'entourant. Pourtant, lorsque tu aperçois un homme se faire tuer, un enfant se faire battre, une femme se faire violer, c'est autre chose que de la froideur que l'on ressent en croisant ton regard, une envie de justice, une envie de vengeance. Et oui, ce n'est pas l'impassible Grimmjow que l'on a en face de nous pendant toutes ces actions traître. Ton cœur de pierre se fissure à chaque meurtre, toujours un petit peu plus, attendant le moment propice pour imploser. C'est avec les "pompeurs" que tu as obtenu ce cœur, cette conscience, cette façon de vivre, au fond de toi, tu sais très bien que tu n'aies jamais pu vivre autrement, la discrétion et la solitude peuvent être tes amis, comme le bruit et les amis, tout dépendra de son humeur du jour. Pour apporter au monde la prospérité tant mérité, tu es prêt à tous même si pour cela tu dois vendre ton âme.

Tu es joueur, t' aimeras t'amuser avec ce que fait ton adversaire, observer ces faits et gestes, tenter d'anticiper, parfois réussir, parfois échouer. Tu tableras sur la chance, tentant grâce à celle-ci de t'en tirer correctement même lorsque tu pars dans la mauvaise direction ou quand tu démarres mal un combat. Après tout, la chance fait tous dans ce monde, un kunai perdu peut venir heurter la nuque de ton adversaire, prêt à te décapiter, tout comme la malchance peut demander à ce même kunai de venir se figer dans ton crâne et ainsi en finir avec tes jours. On peut comparer la chance, malchance, au destin, mais il faut aussi savoir que la chance des uns faits souvent la malchance des autres. Tu sais donc que t'as déjà fait le malheurs de la moitié du monde... Connard.

Hypocrite en plus de ça, se cacher derrière cette froideur par peur de montrer ce que l'on ressent, prétendre que la dite froideur est là depuis toujours, incapable d'avouer la faiblesse dont il fait preuve. Pathétique, Grimmjow, tu es pathétique. Avouer détester tout le monde, prétendre haïr les carnivores, car il mange des animaux ne leur ayant rien demandés alors que toi-même tu manges les herbivores même pas dix minutes après avoir dit ou pensé cette phrase. Le pire chez toi, le pire de tes pouvoirs.. Ce sont tes mots, le venin, pire que celui d'un scorpion ou de n'importe quel serpent, composé de remarque sarcastique, antisémite ou encore pleine de préjugée. Cet humour noir que tu adores, ce pouvoir que tu vas sucer jusqu'à la moelle. Tu juges sans même connaître, tu vas croiser un gars dans la rue, le juger et pas de manière méliorative, tout lui envoyer dans la gueule, perforer son petit corps de tes milliers de crocs. Juger de malheureux inconnu uniquement parce que tu vois, ce regard, n'étant composé que des méandres de ton passé, croyant injustement que cela excuse ton comportement d'aujourd'hui.

Aucune pitié, aucune fraternité. Que ce soit quelqu'un de Kiri, de Konoha ou de Suna, tous auront le droit au même traitement. Un jet d'acide qui va leurs donner envie de t'en coller une, cette puissante droite que tu mérites depuis ta naissance, cette droite que l'on hésite à te mettre, cette droite qui t'aurais remis dans le droit chemin. Têtu. Encore quelques choses de péjorative dans ce tableau qu'est ton comportement, pourquoi cela ne m'étonne pas ? Même toi t'es au courant de ça, même toi tu sais que tu n'as que très peu de choses méliorative dans ton comportement, même rien. Ton but, pour l'instant tu n'en as pas, enfin, si.. Comme tu le dis si bien ; « Mon but.. C'est de trouver un but. ». Enfin, personne ne te fera abandonner ce rêve une fois que tu l'auras trouvé, je suis même sûr que tu arriveras à l'accomplir, après tout, dans cette vie misérable, c'est toujours les salauds qui s'en sortent le mieux. Cependant, parfois, ton entêtement peut paraître lourd et excessive, on ne va pas te le faire remarquer directement, on va attendre que tu te calmes, après tout, ta nonchalance habituelle reviendra rapidement. Il te reste une partie du gamin que tu étais à l'époque, tu sais aussi bien que moi que l'on ne peut pas supprimer tant d'année de sa vie en si peu de temps.

Les qualités que l'on peut te trouver ? Il n'y en a pas. Peut être que ton entêtement peut rentrer dans cette catégorie puisque, bien qu'elle soit insistante, elle prouve une certaine loyauté envers ce but, loyauté que tu n'offres qu'aux personnes ayant ta vie entre leurs mains. Bien que cela t'écorches la bouche, t'es toujours un gentil petit soldat devant tes supérieurs, t'ose pas les mettre en colère et vas y les merci, les s'il te plait et compagnie, sa change de tes aboiements. Suffit d'un peu d'argent pour le dompter c'te p'tit chiot.

Montrer tes sentiments ? On t'a toujours dit que c'était proscrit. Pourquoi désobéir aux codes des ninjas alors qu'un village arrive à survivre en le suivant ? En fait, bien que tu dises cela et que tu le penses toi-même, tu ne respectes que les règles qui t'intéressent, te contentant simplement d'oublier celle qui te font chier à tel moment de ta vie. Tu hais savoir que quelqu'un connait quelques choses qu'il ne devrait pas savoir, encore plus quand cela te met en difficulté. On remarquera alors l'étincelle de détermination brillant dans tes yeux, cette petite étincelle qui semble allumer un feu et qui réchauffe ton visage. Enfin, cette peur de montrer tes sentiments, c'est peut-être une partie du calcul qui donne comme solution : Froideur et impassibilité ou encore fausse joie et caractère de gamin. Afin de te rendre inaccessible, tu empêches quiconque de s'approcher de toi, usant alors de ce venin qui en a fait pleurer plus d'un lors de ton enfance, qui continue toujours aujourd'hui. Enfin, froideur et impassibilité sont de bien grand mots, la plupart du temps.. cela se cachera derrière un masque d'ennui, de profond ennui. Bien entendu, monsieur le têtu, il est impossible que tu remettes une partie de ton comportement en doute, oui, on sait que c'est le meilleur comportement qui peut exister au monde et on sait aussi que c'est le meilleur des boucliers.

Indépendant, solitaire et mystérieux. C'est un comportement comme il en existe beaucoup dans le monde des ninjas, je sais. L'Uchiha étant d'ailleurs connus comme étant les meilleurs à ce jeu-là, enfin.. Rien à faire. Quand ils ressembleront à des hommes, des vrais et pas à des femmelettes, ils pourront v'nir causer avec dieu. Enfin, je m'égare. Enfin, voyager à plusieurs, c'est montré une marque de faiblesse non ? Après tout, c'est qu'on ne peut se protéger seul. Tout comme le vent, tu suis ton instinct, tu vas où tu veux, quand tu veux, cette carapace que tu protèges à coup de parole blessante, cette solitude que tu chéries plus que tout, même à l'enfer dont tu vantes les mérites. Pour toi, rien ne peut t'égaler, tout simplement, car tu fuiras le danger trop grand, t'écartant de sa route afin de pouvoir le ré affronter lorsque tu seras plus fort car .. Tu as un allier de choix.

Tu n'es pas musclé, tu ne ressembles pas à Ces hommes qui se différencient de la femme par la taille de leurs muscles, tu préfères à ça des stratégies cassent têtes et des mouvements gracieux. Libre à toi de faire ce que tu veux, la vitesse étant ton plus grand allier, tu ne vas pas la virer pour acquérir plus de force. Bien que ce comportement mesquin se répète dans tes gestes, on peut trouver une certaine beauté à ceux-ci, tout comme aux paroles qui sortent de ta bouche, car bien qu'étant blessante, elles sont d'une étonnante politesse, jamais tu n'insultes réellement, préférant à cela la subtilité, c'est d'ailleurs pour cela que tu n'évites pas les imbéciles qui ne comprennent rien à tes "subtilités". Enfin, grâce à ce comportement, tu t'en fiches de tout, rien ne t'atteint, tout se perd entre tes oreilles et ton cerveau, moyen facile pour énerver un adversaire incompétent.. Tous les moyens sont bon pour rester en vie.

Bizarrement on te prend pour une tête brûlé, un imbécile qui court dans tous les sens et qui veut visiter le monde. Cependant, tu es d'une étrange nonchalance, ne s'alliant pas du tout à tes mots ni aux expressions de ton visage, par moment. Cependant, la posture de ton corps confirme cette nonchalance, les mains dans les poches, les épaules recourbés, il sera plutôt difficile de ne pas te prendre pour un flemmard. Tu n'iras que très rarement foncé dans le tas, préférant à cela la partie primaire du combat, les cachettes, les actions cachées, les Bunshins. Toutes ces choses qui font d'un combat un combat. Tu es rongé par les remords, ces mêmes remords qui vont continuer de te pourrir de l'intérieur, tu finiras par te cracher dessus, je peux te le dire Grimm, après l'homme, le monde, les animaux, le prochain sur la liste c'est toi. Cependant, cela te fera peut-être du bien, ou peut être pas, ce sera peut-être l'ultime coup de couteau.

❝ PHYSIQUE DU PERSONNAGE

« QUI A PEUR DES ETINCELLES NE DEVIENT PAS FORGERON. »

« J'écrivais tranquillement mon bouquin dans l'bistrot du coin. Une délicieuse odeur d'anise flottant dans l'air, cela semblait au goût du jour. Souffrant de l'absence d' inspiration. Le portillon s'ouvre brusquement, l'air frais se répendant comme une trainée de poudre dans l'enceinte, le fracas de la porte tourne tous les regards vers l'homme qui se montre alors, disposé entre l'ombre et le soleil, je sentais mon inspiration revenir, c'est pourquoi je gratte rapidement une description de ce qui sera mon personnage principal.

La première chose que l'on aperçoit de ce mystérieux personnage, c'est sa chevelure, entre le bleu et le vert, je crois que c'est la première fois que je peux placer l'adjectif cyan. Trois mèches retombaient sur son visage, sur des yeux bleu éclatants, que je n'eus pas le loisir de regarder plus longtemps. Pourtant, rien que de penser à ce regard agacé, impertinent, des frissons parcourent doucement mon corps. Après cela, on peut apercevoir ce que je comparerais à une excroissance osseuse sur le côté gauche de son visage, reprenant parfaitement ce qui semblerait être sa maxillaire et sa mandibule, avec un aspect plus démoniaque. Cela semblait donner un aspect encore plus sauvage à ce visage, comment décrire cela ? Avec ces cheveux qui semblaient ordonnés sur le haut de son crane, on pouvait penser à tord qu'il prenait soin de lui, pourtant les épies que l'on trouve éparpillés prouvent le contraire. Indompté conviendrait parfaitement. Le côté droit du visage qu'il tourne vers moi dévoile un sourire malfaisant, féroce et grossier. Un parfait mauvais garçon donc. Habité d'une grâce qui semblait naturel, une finesse persistait, l'absence d'attrait masculin parlant, dépourvu, semblerait'il de pilosité faciale, l'homme ne possédait pas un bouton, pas un poil.

Son visage semble glacé et pourtant les sentiments qui y tourbillonnent sont bouillant. C'en est à un tel point que l'on se demande comment le chaud et le froid peuvent cohabiter de cette façon.

Cet homme impose la crainte, ne portant qu'une veste blanche aux coutures noires, entrouverte comme à l'accoutumée. Révélant un buste que l'on dirait parfait, fin et habilement musclé, l'harmonie entre les deux semblaient s'être construite au mini-mètre près. Impossible de jauger ces épaules puisque ces deux mains sont profondément enfoncé dans ces poches, une nonchalance non caché donc, le chasseur dans toute sa splendeur. Pourtant, en dessous de cette poitrine parfait, ou presque, se dessine des abdominaux souligné par l'expression 'la peau sur les os", en l’occurrence, ce serait sur autre choses. Inutile donc de continuer plus loin, vous m'avez compris, c'est un athlète. On devine aisément la puissance ainsi que l'habileté que peux fournir ce corps, un ninja. Je n'eus même pas besoin de le voir combattre pour deviner cela, n'est-ce cependant pas contraire à leurs règles ? Enfin bon, inutile de cacher puisque rien qu'à sa démarche souple et agile, on devine des heures de combat à main nue. Il transpire l'acharnement presque autant que la suffisance. Mais, lorsqu'il se retire de devant cette porte, instant qu'y n'avait pas duré longtemps, entre nous, la lumière cessant, les détails devenant perceptible, je découvre avec étonnement une longue cicatrice partant de son épaule droite et finissant, si je devine, à sa hanche droite. Blessure qui aurait dû tuer n'importe qui sur le coup, enfin, la puissance des ninjas est souvent sous-estimé.

J'en reviendrais une dernière fois sur son sourire, mais quel sourire .. Tant de sauvagerie sur une si infirme parcelle de corps devrait être interdite ..

On ne pourrait le dire colosse, un petit gabarie que j'estime d'un mètre 75, suffisant pour me dépasser d'une tête. Je ne peux deviner son poid, une estimation serait entre 60 & 70 kilos. Enfin, ce ne sont que des estimations. »

HISTOIRE DU PERSONNAGE

Il y a trois ans, milieu d'année à l'Est d'Iwa Gakure no Satô.

Plongé dans l’obscurité, cette ambiance pernicieuse flottant dans l’air, seul tes lèvres s’écartant en un sourire sinistre semblent éclairé par la lumière, comme si tu jouissais de cette atmosphère. Cependant, un bruit provenant du couloir parvient à troubler cette inquiétante quiétude, proliférant par la même occasion une tension malsaine dans la pièce. C’est alors que la porte devant toi s’ouvre, un homme pénètre dans la pièce en se baissant, beaucoup plus grand et puissant que toi, tu soulèves ton cul de ta chaise ; « Fermez la porte, s’il vous plait. »
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Aucune réaction, pas de sensation, impossibilité de savoir ce qu’il pense, cela me plonge dans une moue songeuse, ais-je bien fait d’aller jusque là pour cette rébellion ? Retenant avec difficulté un soupire, je reprends la parole, remarquant seulement à ce moment là qu’il me fixait depuis le début, saisissant mon verre pour boire une gorgée de l’alcool pur qu’il contient, appréciant la saveur de l’éthanol qui m’accompagne depuis si longtemps maintenant, la chaleur s’empare alors de mon corps. « Si je vous ai fait venir, c’est pour m’assurer des termes du contrat que nous allons passer. Autant en parler directement sans passer par de vulgaire pion. » L’humidité de la pièce devient bien plus pesante, j’appréciais peu cet homme pour le moment, je ne pouvais pas me risquer à être comme je le suis normalement avec quelqu’un comme lui. « Et, par la même occasion, parler de la façon dont nous allons procéder. » C’est alors que je remarque la faible lueur rouge émanant de sa bouche, ainsi le monsieur fume ? Je savais que comme j’étais la personne qui paye et qui a demandé de l’aide, c’était à moi de mettre les termes du contrat sur table et je comptais bien le faire de façon saturnienne, faire en sorte de ne jamais risquer ma vie, que ce soit dans l’immédiat ou dans un futur lointain.

« Alors, monsieur Tairiku, vous vous êtes fait connaître grâce à votre raie sur Kiri, les circonstances font que je pense que vous êtes l’homme qu’il me faut, je me suis bien renseigné sur vous et je pense avoir trouvé plusieurs compromis qui pourrait nous intéresser tous deux. » Cet enfoiré n’hausse même pas un sourcil, je ne sais même pas si je l’intéresse ou s’il se fout ouvertement de ma gueule, il n’a pas intérêt à refuser, moi j’vous l’dit, sinon j’lui fait la peau à lui et ses putains de Yakuza. « Première, vous m’aidez à tuer l’actuel Tsuchikage, non .. Je me suis mal exprimé, vous m’aidez à le buter sans que je me fasse voir, sans que l’on ne me soupçonne et par la même occasion, vous m’aidez à reprendre le pouvoir. » Maintenant t’écoutes, tant mieux pour toi, la suite risque de t’intéresser. « En outre, je t’offre la partie est de mon pays pour faire tes marchés, tu ne fais pas sortir tes Yakuzas de ce périmètre et on a pas de problème, après, on pourra toujours s’aider politiquement, toi si un des tiens te gêne et moi .. On se comprend. Cependant, personne ne doit entendre parler de ce marché. »

Maintenant le plan, je ne savais vraiment plus quoi faire, je n’avais reçus absolument aucune information comme quoi il me suivait, mieux valait être sûr. « Vous me suivrez dans cette affaire, n’est ce pas monsieur Tairiku. » Il hoche la tête, c’est déjà ça, reprenant une gorgée de ma boisson, je réfléchissais à la façon dont j’allais l’éclairer sur mon plan. Ricanant tel un psychopathe, j’étais sûr de gagner, ce Fucking’ Tsuchi avait perdu depuis maintenant trop longtemps pour espérer retomber sur ces pattes. Le monsieur ne faisait pas attention à ses missions, rapports, se contentant d’observer les feuilles marqués du sceau rouge contenant le symbole de la pierre, dommage pour lui, il aurait remarqué qu’un groupe de ninja disparaissait tous les mois en mission à durée indéterminé depuis maintenant quatre ans. Ce groupe additionné aux autres qu’ils envoient surveiller les frontières causent une grande faille dans le système d’Iwa. Trop peu pour une attaque de masse, ils restent suffisant pour empêcher que l’on prenne conscience qu’il y a une attaque et que le tsuchi’ est en danger, ce à quoi vont servir mes sceaux. Cependant, l’effectif du Yakuza qui correspond à un peu plus d'un tiers d’un village caché me permet de prendre amplement l’avantage. Bien sûr qu’il n’avait rien à redire, ce plan est mise en place depuis des mois, cela fait des mois et des mois que je travaille dessus afin de rendre l’échec impossible, une attaque rapide de deux heures qui me prends presque un ans de préparation. Heureusement que ce Kage devient de plus en plus con.

« Je vais donc vous mettre au courant du plan, vous me direz ensuite l’effectif que vous comptez mettre à ma disposition. Mais d’abord, voici un sceau que vous allez me laissez vous apposer, sa fonction sert principalement à vous empêcher de dire à qui que ce soit ce que je vais vous avouer. » Faisant dès lors glisser le morceau de papier sur la table jus qu’à l’autre extrémités. « Une simple précaution, comprenez que l’avenir de mon village est entre vos mains et que je ne veux pas que cela soit gâché si vous vous faites attraper. Vous n’avez qu’à le poser sur votre torse, sur vos vêtements et le sceau sera actif. » Je doutais vraiment qu’il accepterait ainsi, enfin, je suppose que notre marché l’intéresse vraiment puisqu’après l’avoir étudié seulement quelques secondes, il appose le sceau sur son torse. Dès lors, une marque rouge parcours son corps pendant une demi minute, des symboles en surbrillance rouge sont à présent visible à travers ses vêtements, tous s’arrête quelques minutes après. « Je peux vous proposer un verre, monsieur ? » Ce sourire, tu sous-estimes ton adversaire. Fait attention.

Il y a un ans, début d'année dans d'Iwa Gakure no Satô.

musique obligatoire pour la suite https://www.youtube.com/watch?v=evc68_9Zmtg

Le début d’un renouveau, la pierre polie pour être aussi jolie qu’avant qu’elle ne soit salie. J’avais un effectif bien supérieur à celui du Kage, maintenant il ne manquait plus que le moment pour agir de façon à ce que seul lui ne pense au coup d’état, trop difficile d’obtenir l’accord de la population après un coup d’état ouvert. C’est pourquoi le plans se complique légèrement, il faudra attendre un bon moment avant de pouvoir ne serais-ce qu’approcher le vieux kage. J’avais pensé à faire intervenir les troupes Yakuzas à l’Est afin qu’il envoie une grosse partie de ses effectifs, cependant si Iwa perd trop d’effectif, le pays deviendra une cible parfaite pour les autres pays, et dieu sait qu’est qu’il donnerait pour agrandir leurs territoires. Je ne trouve que cette solution et si par malheur je me fais voir, il ne restera plus qu’à m’expliquer devant la population qui n’aura d’autre choix que de m’accepter. Et puis, vu les antécédents de ce Kage, je pense qu’abattre les conseillers qui l’ont élue par la suite sera une bonne fin de l’histoire, enfin, attendons déjà que je me retrouve devant ce bâtard. Deux ninjas apparaissent devant moi, les pions préféraient du chef des Yakuzas, je comprends alors qu’il me donne le champ libre pour l’attaque des Yakuzas, une dernière hésitation, une dernière, il fallait vraiment que je réfléchisse correctement. Si les Yakuzas ne traversent pas le pays, comme ils sont déjà à l’intérieur, les autres pays ne se rendront compte que trop tard de la mort de l’ancien tsuchikage, de plus, la reconstruction des remparts et d'une partie des maisons se fera rapidement et permettra de donner un peu d'argent à la population, c’est décidé.
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Deux mois plus tard. Il était temps, c’était la date que j’attendais depuis si longtemps, mon équipement ninja au complet, me dopant aux pilules ninjas, un sourire des plus magnifiques accrochés au visage, le corps tremblant tellement les sensations qui m’enivraient était magnifique. Je saisissais mon sabre, nommé Panthera, aux reflets argentés, bleutés. Délicatement, j’enfile mon habituel tenu blanche, couvrant mes points vitaux de particule d’argent, oubliant ma mâchoire, qui, à cette époque n’était pas possédé par une excroissance osseuse. J’étais paré pour mon combat, une détonation, deux, des dizaines retentirent à l’est du pays, je savais que dès la deuxième tous les shinobis avaient déserté, maintenant il fallait se dépécher. Accompagner d’une dizaine de ninja, je me déplace vers le palais du Tsuchikage qui sortait pour recevoir une équipe d’Anbu, la zone fut encerclé par une barrière kekkai préparé au préalable et donné aux ninjas, lui, moi et personne d’autre, les ninjas d’Iwa composant la barrière étaient intouchable, soit il se défendait correctement et je mourrais, soit il allait clamser.

« Raiton ! Ikasuchi no Ute. » Le combat commence immédiatement par une de mes techniques Raitons de bas niveau, préférant la rapidité de cette action, frappant dans mes mains avant de taper le sol, les lances jaunes s’élancent vers lui. « Doton, Doroku Kaeshi ! » Ma technique percute la sienne, une onde de choc se propage et la poussière se soulève de terre, l’ancien génie face à la nouvelle génération, l’élève dépasse le maître comme on dit. Habité par le même sourire que moi, mon adversaire prends la parole : « Pourquoi Grimmjow ? Je pensais être à l’abri de tes caprices, pourquoi convoites-tu ainsi mon poste ? », ricanant légèrement, je n’avais pas l’intention de lui mentir, mon mentor pouvait bien avoir la chance de savoir pourquoi il allait mourir, je pouvais au moins lui accorder cela. « Vous êtes devenu trop vieux sempai, place à la nouvelle génération, vous ne faites que des conneries, la preuve, vous n’avez pas remarqué ce qui se tramait dans le pays, le danger qu’il encourait .. De plus, des ambitions plus personnelles m’habitent et vous le savez très bien, inutile de vous le cacher. C’est simple, devenir le plus puissant, c’est facile, mais je ne pourrais jamais reprendre mes idéaux si je n’ai pas une force supérieur pour faire pression, ainsi, ceux qui ont taché notre honneur par le passé le regretterons.» En effet, ce Kage pacifiste avait choisi de faire taire la façon de penser des Iwa-jins, causant ainsi plus de mal que de bien puisque la fierté de ceux-ci en fut taché, ce sont ces personnes qui ne vivent que pour l’honneur d’Iwa que j’ai regroupé, c’est cette mentalité que je souhaite faire perduré et non pas ces idéaux pacifistes. La fierté du plus puissant village.. « Ce sont maintenant deux hommes aux idéaux différents qui s’affrontent, outre mon âge et ta jeunesse, cela sera le plus valeureux des deux qui le remportera. Cependant, si tu me bats, j’accepte, pour notre relation passé de maître-élève, de penser comme toi avant de mourir. Cependant, si tu perds, tu perdras la vie, mais pas après avoir vécu autant que moi, personne ne se souviendra de toi, petit enfoiré. Je ne cherche pas à te raisonner, tu sais comme moi que têtu comme tu es, cela nous fera perdre du temps ce qui blessera encore plus de nos ninjas. » Je n’en attendais pas plus de toi, bâtard.

Isolé par la barrière, regardé par le peu de personne qui ne sont pas aux fronts, je pouvais déployer l’ensemble de ma puissance, toutes les choses qu’il m’avait apprise aux dépends des autres membres de mon équipe passer, préférant faire passer son élève le plus puissant devant les autres, jus qu’à ce qu’ils perdent les êtres qu’il aimait, il s’est alors mis à aimer la paix, à vouloir le calme. On ne peut laisser quel qu’un comme lui diriger un pays des ninjas, je suis désolé sensei, tu ne sortiras pas vivant de cet affrontement avec ton plus puissant élève, comme tu t’évertuais à le dire, à l’époque où tu savais encore te battre. Maintenant, tes mouvements sont anciens, manque de volonté, de force, de nouveauté .. Tes muscles sont crispés, mais trop peu, ton visage est tordu en un rictus qui m’offre déjà la victoire, incline toi avant que je te tue..

Tu ne le feras pas. Je te connais, une épreuve, tu me testes à nouveau, je suis ce qu’il te reste, normal .. Mais au prix de ta vie, je suis honoré. Là où quel qu’un t’aurais pleuré, je te respecte en ce moment plus que jamais.

« RAITOONNNNN ; RAIIRYUU NO TATSUMAKII ! » Le dragon de foudre se créer devant moi, se positionnant parfaitement entre le Kage et moi, je le vois composer ses signes rapidement, preuve qu’il me prends maintenant au sérieux, tu signes ton arrêt de mort papy sénile ! « Doton ! Kekkai doru domu ! » La terre se soulève, s’interposant entre mon dragon et la cible, non seulement le dragon clamse face à cette motte de terre, mais en plus celle-ci continue de se soulever, m’envoyant par la même occasion son attaque après qu’elle est bloqué la mienne . Réfléchissant aussi vite que je le pouvais, le mieux était de passer au-dessus de la motte, après, elle s’écraserait contre la muraille. Courant, passant au-dessus d’un toit, au-dessus de la vague de terre qui s’écrase sur mon ancienne position, mon sensei continue sa série de signe, reconnaissant le dernier signe de la technique de mon ancien professeur, j’en commence moi aussi une. « Katon ; Suiyari ! » « Fuuton ; Kaze kiri. » Ainsi, la technique qu’il m’envoyait fut renvoyé, plus puissante et plus rapide, les cinq lances de feu s’écrasèrent contre la terre, obligeant mon sensei à esquiver, il ne faisait aucune erreur, ça en devenait lassant, j’allais devoir en venir au main, le ninjutsus n’étant pas le domaine que je préférais. Je ne pouvais pas lui donner le respect que je lui dois, préférant au mot sempai le mot bâtard en général, mais je ne voulais pas paraître aussi idiot que ça lors des dernières heures d’un grand guerrier. Saisissant la poignée de mon sabre pour m’élancer sur mon sensei, un nouveau combat commence, esquive d’un côté, attaque de l’autre.

Impossible de le toucher, le vieux était une anguille, il passait entre mes coups d’épées, apparaissaient derrière moi d’un coup, sans que je ne sache pourquoi. C’est pourquoi, à la fin de cet échange, la face déconfit, transpirant et suant à flot, assez pour faire de l’agriculture à Suna, si j’ose dire. Entaillé de partout et taché de la poussière que j’ai ramassé à chaque chute. « Imbécile, tu n’as toujours pas changé, je t’ai tout enseigné, je connais chacun de ces mouvements ! » Il a raison en plus le vieux, mais interdiction de l’admettre ainsi. « Ta .. Ta gueule enfoiré ! » Il sourit, ce sourire supérieur que j’ai tant détesté, mais quel fils de .. J’t’encule à sec bâtard, la même qu'à ta femme. On va passer à la vitesse supérieur dans ce cas. « Dans ce cas, je vais devoir te montrer une forme d’art que tu ne connais pas, que tu ne m’as jamais appris car tu n’y connais rien. » Jetant dès lors quatre parchemins autours de moi, sous le regard attentif de mon maître, composant un signe de mon unique main, une explosion de fumée retentit et des traits argentés jaillissent des parchemins. Dans un espace aussi restreint, il ne peut rien faire, le contrôlant de mes mains, coordination chacun des mouvements des traits métalliques, choses que j’avais passé énormément de temps à faire pendant mes entraînements. Un me couvrait, l’autre attaquait, le troisième attaquait après l’esquive et le quatrième le finissait. Au revoir. Le sang teinte dès maintenant l’argent. Cependant, alors que l’espace restreint compacté mes traits argentés, le tout retombe en poussière sur mon adversaire. Je commence une série de signe, prononçant calmement le nom de ma technique : « Raiton ; Gian ! »

Particulière cette technique puisqu’au lieu de se disperser et perdre de sa puissance, la très puissante électricité suit la poudre argenté qui l’a même à mon sensei ensevelie sous-celle-ci. Les hurlements me parviennent, je ne prends aucun plaisir à les écouter. J’étais loin de me douter que bientôt ce seront mes hurlements qui secoueront Iwa gakure no sato. Un poing chargé de chakra de type feu percute ma joue, détruisant complètement les tissus, manquant de briser ma mâchoire et mes dents. « Tu me sous-estimes, Grimmjow. Voilà où te mènes ton excès de confiance en toi. » Bâtard, un simple clone et un déplacement sous-terre. Contrôlant mes particules argentés, je devais trouver rapidement un moyen de réparer cette erreur, c’est ainsi que je remplaça les tissus morts par des particules argentés purs, me formant cette excroissance osseuse qui me rappellera à jamais cette semi-défaite puisque mon sensei m’a prouvé une nouvelle fois sa puissance qu’il a obtenu sans aide de famille. « Enfoiré ! » à partir de ce moment là, les particules d’argent s’étant échappé de mes sceaux se transforment en lame qui se mettent à léviter autours de moi. « Adieux sensei. » Je me remets debout, profitant du fait d’être intouchable avant d’abaisser mon bras qui était auparavant levé, projetant toutes les lames que j’avais regroupés sur mon ancien sensei.

AUJOURD'HUI !

On a eu du mal à faire passer ça pour un accident et le besoin urgent de Kage privilégia le fait que j’étais l’élève de l’ancien pour prendre sa place, une nouvelle vie commence pour Tsuchi puisque mes idéaux sont autres que ceux qui habitent Iwa depuis maintenant une cinquantaine d’années, j’hésite encore sur les alliances, mais ma raison m’ordonne d’en faire, je ne pourrais tenir éternellement tous seul, de plus, le fait que l’ancien Kage soit mort pourrait prouver qu’Iwa s’en veut pour les fautes passer et permettra donc de s’allier avec des personnes qu’on aurait jamais cru. Pourquoi pas. Il ne faut pas oublier mon allier premier nommé Tairiku, le chef du clan Ryu des Yakuzas s’est installé il y a peu dans l’Est du pays, on a fait croire à un pacte entre lui et moi pour qu’il n’y est plus jamais de conflit, d’ailleurs, cette zone a été clôturer pour les laisser tranquille, Iwa surveille de près les manigances de l’homme sans l’empêcher, simplement s’assurer qu’il ne tente pas une seconde rébellion en prenant cette fois-ci la vie de l’actuel Kage, c'est-à-dire moi. Enfin, nous verrons le reste de ces manigances plus tard. Les deux nations les plus intéressantes sont surement Suna et Konoha. Kumo ayant offensé Iwa trop de fois pendant trop longtemps, la vengeance d’Iwa promet d’être explosive. Des émissaires sont déjà partis dans les deux pays pour poser une demande de conseil, entre eux trois seulement.

Autrement, les dégâts causaient par les Yakuzas sont mineurs, ils ont offerts aux nouveaux ninjas, qui ont survies, une expérience rapide de la guerre. Les professeurs de l’académie sont servies en évènement qu’ils pourront relater à leurs élèves, l’illusion de cette victoire écrasante permet à Iwa d’obtenir une fierté bien supérieur à celle qu’elle possédait avant. Dès lors, des campagnes de propagande sur la puissance des ninjas d’Iwa sont crées afin de bien encrer ce point de caractère dans ses ninjas. C’est ainsi que dès leurs plus jeunes âges, les ninjas sont maintenant habités par cette fierté de la terre, qui doit être préserver. La puissance des ninjas est maintenant proportionnel aux enseignements qu’ils reçoivent, on mise beaucoup plus sur l’académie ninjas, la fierté des ninjas faisant venir des nouveaux ninjas de partout dans le pays. On élargie les horizons dès le début de l’académie, présentant chacun des arts ninjas afin de permettre à nos élèves de choisir l’art qui leurs convient le plus, bien que la plus grande partie finissent dans la partie Ninjutsus, Doton, des cours de l’académie. Les non-ninjas partent à la conquête des mines du pays avec quelques ninjas afin de les protéger, alors que dans l’est du pays, les Yakuzas maintiennent leurs commerces sans embêter le pays de la terre.

Au niveau de la politique interne du village, les conseillers du village ont été renvoyer, plusieurs nouveau postes ont fait leurs apparitions, le Kage ne gère plus la paperasse, c’est au nouveau conseil composé uniquement de personne présentant cette fierté de la terre qui la fait, de plus, c’est aussi eux qui gère les missions, à noté que le Kage fait partie de ce conseil, mais n’est pas obligé de se pointer. Sinon, deux nouvelles sections des ninjas masqués sont crées, la première, section des attentas, utilisateur du Bakuton, nouveau Kekkai de plus en plus utilisé par les ninjas Iwa-jins, cependant, seul l’élite développe des techniques puissantes. La seconde est une élite destiné à plonger dans les autres villages pour en soutirer des informations, marqué par des sceaux sur tous le corps, ils ont l’incapacité de parler ou de dévoiler quoi que ce soit sur le village, ce qui fait d’eux de parfait espion. Chaque année, un tournoi destiné à l’affrontement des plus puissants ninjas, interne à Iwa, à lieu, les participants sont sélectionnés par le conseil et deviennent les plus aptes à la garde rapproché de leurs Kages. La présence des quartiers pauvres du village à considérablement baissé et les dégâts sur les murailles ont été réparés, le village n’a jamais été aussi puissant.