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 ONIKA MUSUME ▬ SISTER OF BEARS

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Onika Musume
Membre
Onika Musume


Messages : 1
Date d'inscription : 14/01/2013

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MessageSujet: ONIKA MUSUME ▬ SISTER OF BEARS   ONIKA MUSUME ▬ SISTER OF BEARS EmptyJeu 17 Jan - 20:45


✷ ONIKA MUSUME THEME

ONIKA MUSUME ▬ SISTER OF BEARS Tumblr_mgp1i2VuWW1qmqha2o1_500
❝ THE BEAUTY AND THE BEAST ❞
All you need is love. All you need is love.


❝ WHERE IS MY MIND ?


NOM & PRENOM : ONIKA MUSUME
AGE : DIX NEUF PRINTEMPS
VILLAGE : CLAN RYU
RANG/NIVEAU : VEUVE DE L'ANCIEN BRAS DROIT ▬ S
SPÉCIALITÉS : IROUJUTSU ▬ KUCHYIOSE ▬ NINUTSU
ÉQUIPEMENT : KATANA ▬




CARACTÈRE DU PERSONNAGE




❝ PHYSIQUE DU PERSONNAGE





❝ HISTOIRE DU PERSONNAGE



PROLOGUE

The little white lady and the big and black bear.


▬ SHE'S THE ONE
La rivière coulait silencieusement. Le rivage était paisible, l'herbe verte et les fleurs sauvages s'épanouissaient sous le doux soleil d'été et un calme apaisant, presque religieux emplissait les parois invisibles de la bulle de sérénité et de paix qui englobait l'homme assis au bord de l'eau, semblant méditer dans une totale léthargie. Son souffle était lent, ses yeux fermés, agenouillé, le visage neutre. Un katana à l'envergure impressionnante reposait dans l'herbe tendre à ses côtés, une lame digne du guerrier qu'il était. Et quel guerrier. Debout, il dominait le reste de ses semblables de plusieurs têtes et sa carrure large et imposante était celle d'un ours. L'Ours. C'était le nom que lui avait donné sa mère. On l'appelait seulement l'Ours. Il était jeune. Lui même ne comptait plus vraiment les hivers passés depuis sa naissance. Peut être vingt cinq, peut être trente. Il imposait le respect aux siens, devenait terrifiant une fois les armes brandies contre l'adversaire. Même assis, il paraissait effrayant, inquiétant, intriguant. Il n'inspirait pas la sympathie aux premiers abords. Il était sauvage, revêche, paraissait vivre en dehors de toute forme de civilisation. Mais son cœur était bon et son sens de l'honneur louable. Il était juste et brave. Le guerrier idéal. Mais il était solitaire et faisait tout pour ne pas se retrouver trop entouré. Le silence lui seyait à merveille. Ainsi, il allait souvent s'asseoir là, au bord de la rivière, pour réfléchir ou tout simplement se vider l'esprit. Ses cheveux bruns se confondaient avec sa longue barbe toute aussi brune dans une cascade soyeuse et ses traits, détendus, le faisaient presque passer pour un sage venu prier ou méditer au bord de la rivière. Il offrait le spectacle d'une statue. Un être de chair et d'os figé par le plaisir de la tranquillité, le murmure presque inaudible de l'eau, et le chant presque lointain des oiseaux. Il faisait partie intégrante de cette nature matinale et encore timide. Il aimait ces moments de paix, ces moments ou rien ne pouvait le troubler. Mais ce jour, quelque chose attira son attention et le sortit de cette agréable transe. Une barque s'avançait doucement sur l'eau, qui la faisait avancer du bout de ses longs doigts légers. Flottant d'une manière presque aérienne, la barque se déplaçait en silence, sans le moindre bruit. La statue ouvrit les yeux, et l'homme de pierre redevint de chair. La curiosité qui lui était propre le piqua immédiatement, et, intrigué, il se releva doucement, son katana bien en main. La barque avançait toute seule. Personne ne ramait. La rivière était le seule pilote de la petite embarcation de bois. Méfiant, l'Ours attendit que la barque passe devant lui et découvrit alors une chose à laquelle il ne s'attendait pas du tout. Une fillette dormait paisiblement dans la barque, le visage serein, ses cheveux châtains flamboyants au soleil. Seule. Toute seule. L'Ours jeta un bref regard vers l'aval. Las bas, la barque rencontrerait les tourments des cascades et finirait par se briser en milles morceaux. A cette pensée, l'Ours, qui avait tout d'un homme bon et doux amena la barque à lui du bout de son katana en s'étonnant que l'embarcation soit si légère, comme faite exprès pour la fillette. Il se pencha et ramassa la petite qui n'ouvrit pas même un œil, son petit souffle faible inaudible. Il la serra contre elle et libéra la barque. Celle ci continua sa route, toujours portée par les flots. L'Ours baissa alors son regard sur le visage de l'enfant. Trois ans, quatre ans, pas plus. Qui pouvait abandonner une petite fille aussi jolie ? L'homme décida qu'il serait inutile de se poser plus de questions. Cependant, quand la fillette ouvrit les yeux et lui dévoila ses iris mordorées tels deux trésors, il fut immédiatement charmé. Sans le savoir, l'Ours venait de tomber amoureux.


▬ SWEET CHILD O MINE
Elle n'avait jamais su trop comment l’appeler, alors elle l'appelait Ours, tout simplement. Ours était tout pour elle et elle ne se souvenait jamais avoir quitté son toit, de n'avoir été dans d'autres bras protecteurs que les siens. Les gens craignaient Ours, mais elle ne trouvait que paix et réconfort à ses côtés. Elle aimait quand Ours lui souriait, et il ne lui souriait qu'à elle. Elle aimait quand Ours racontait des histoires, et c'étaient les meilleures histoires du monde. Elle ne parlait pas. Et Ours lui demandait toujours pourquoi elle ne parlait pas. Elle même ne savait pas. Et elle se contentait de sourire à sa remarque et d'enfouir sa tête dans l'épais manteau qu'il portait. Ours était très grand et très fort et il la protégerait de tous les dangers. Tous les dangers.
Ours n'aimait pas vraiment quand les autres grands la regardaient, se questionnaient à son sujet. Il la traînait partout ou il allait, et elle le suivait clopin-clopant sans se poser de questions et sans trop savoir ou il allait. Mais les endroits ou il la menait lui étaient familiers. Elle voyait beaucoup de gens autour d'elle, mais Ours la pressait d’accélérer. Il n'aimait pas ne pas l'avoir à l’œil. Il n'aimait pas qu'elle s'éloigne de lui. Il lui avait même trouvé un nom ! Un joli nom. Elle aimait bien qu'il l'appelle ainsi. Elle ne se souvenait pas que quelqu'un l'ai appelé de cette manière avec un nom.
Onika. C'était plutôt mignon, non ? Ours disait qu'une femme qu'il avait beaucoup aimé portait ce prénom. Mais maintenant, elle n'était plus là mais continuait de veiller sur lui. Il disait que cette femme l'avait aimé dès le premier regard, et que toujours, elle avait pris soin de lui. Cette femme, lui avait expliqué Ours, c'était une maman. Mais Onika ne comprenait pas ce qu'était une maman. Elle n'en avait jamais eu. Alors, quand Ours lui racontait des histoires sur sa maman, Onika l'écoutait, fermait les yeux, et s'endormait avec l'image de cette femme en tête, l'image d'une femme douce, belle et rassurante, avec la même gentillesse qu'Ours. Elle aurait bien aimé, elle aussi, avoir une maman. Onika passait ses journées au soleil, à flâner aux côtés d'Ours. Elle aimait courir, sauter par dessus les petits cours d'eaux, grimper aux arbres. Ours s'absentait, parfois, et elle restait toute seule, ou se promenait dans le petit village ou il demeurait. Quand Ours était là, les gens ne faisaient pas attention à elle. Ils avaient peur du regard d'Ours. Peur de se voir mangés tout crû. Mais quand Onika marchait seule dans le village, les gens la regardaient d'un œil inquisiteur, les grands monsieur lui souriaient d'un air mauvais. Mais jamais Onika n'eut peur de ces regards. Les gens n'étaient pas méchants avec elle. Seulement, ils ne la connaissaient pas. Ils savaient juste qu'Ours était à elle, et qu'elle était à Ours. Si quelqu'un tentait de lui faire du mal, Ours le tuerait sans scrupules. C'est ce qu'il lui avait promis. Il serait toujours là pour elle. Et elle s'était promise d'être toujours là pour lui.


▬ YOU'RE MINE
Tous, ils la regardaient marcher au bras de l'Ours. Tous avaient les yeux rivés sur son visage doux et incroyablement beau. Ses traits étaient ceux d'un ange, aux dires des plus jeunes. Les femmes enviaient sa silhouette gracile sans en être jalouses. Les hommes étaient fascinés sans pour autant vouloir d'elle. Car elle était à l'Ours, et personne ne touchait les affaires de l'Ours. Tout opposait l'homme à la carrure massive de sa jolie et jeune compagne. Lui, paraissait féroce et imposant, prêt à attaquer quiconque toucherait à Onika, et elle, un sourire apaisant dessiné sur ses lèvres, inspirait la confiance, la bonté et l'amour. Il n'y avait pas de femme plus désirable au village. L'attitude des gens vis-a-vis d'elle avait bien changé. Désormais, les femmes la considéraient comme le modèle de la parfaite épouse et elle passait le plus clair de son temps à jouer avec les enfants de ces dernières.
Mais son jeune âge faisait encore jaser certaines mauvaises langues quand l'Ours n'était pas là pour jeter des regards menaçants à ceux qui osaient dire du mal de sa protégée. Onika avait seulement quinze ans. Et elle savait parfaitement que tout le monde ne l'appréciait pas encore. Mais elle se contentait d'ignorer ceux qui la méprisaient. Car elle était parfaitement consciente que cela changerait un jour. Jamais Onika ne montra d'agressivité. Douce comme un agneau, elle se voulait serviable, à l'écoute, mais comme lorsqu'elle était enfant, ne parlait pas. Ou quasiment pas. Les expressions qu'elle affichait sur son visage angélique suffisaient bien pour la comprendre et savoir ce qu'elle pensait. Onika était un être purement pacifiste et même un peu naïf, mais l'Ours l'aimait, et quiconque aurait nié cette évidence se serait vu la tête tranchée par ce dernier. Rapidement, il avait tenu à l'épouser, pour une raison qui lui paraissait claire : nombre de jeunes yakuzas l'auraient convoitée si il ne l'avait pas fait. Mais les seuls mots qu'osait lui dire Onika justifiaient ce choix.
« Tu es a moi». Oui, il était à elle, et pour toujours. Et il était ravi de constater qu'en grandissant, Onika avait trouvé sa place parmi les siens. Elle passait le plus clair de son temps dehors à jouer avec les enfants, à les rassurer, à leur apprendre ce qu'elle savait. Souvent, Ours la retrouvait couchée dans l'herbe, les yeux fermés, dormant paisiblement, une bande de gamins courant autour d'elle en rigolant. Et souvent, aussi, il l'entendait rire. Et c'était ce qu'il préférait chez elle. Quand elle était heureuse. Quand elle riait. Mais bientôt, il prit la décision de lui apprendre à se battre. Certes, Onika n'était pas faite pour lutter, combattre. L'image d'elle en train de combattre lui était impossible. Mais il entreprit pourtant de lui apprendre ses propres techniques, et sa maîtrise du sabre. Il espérait qu'elle n'aurait jamais à s'en servir. Mais en réalité, Onika apprécia beaucoup cette formation guerrière. L'Ours découvrit quels talents cachés son épouse possédait. Et il fut impressionné.






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